Comme chaque année, l’Agence mondiale antidopage (WADA) publie la nouvelle liste des interdictions qui entre généralement en vigueur au 1er janvier. Vous trouverez le lien correspondant chez nous.
Fort heureusement, le dopage dans le sport motorisé n’est que très rarement un thème d’actualité. Les cas qui font la une des journaux concernent en règle générale d’autres disciplines sportives. En dépit de cette constatation, chaque pilote de course devrait se tenir sur ses gardes. Bien des athlètes ont en effet déjà trébuché sur des substances qu’ils considéraient comme «anodines». C’est pourquoi il vaut toujours la peine de jeter un coup d’oeil sur la liste mise à jour.
Pour la liste des interdictions 2020, la WADA a procédé en majorité à des adaptations formelles et les a complétées par des exemples de substances interdites ou leurs synonymes. Toutes ces substances étaient déjà interdites auparavant en raison de leur «structure chimique similaire», respectivement «leur effet biologique similaire». En pratique, cela signifie que les adaptations n’ont pas de répercussions sur le statut de dopage des médicaments en vente en Suisse. Mais les médicaments nouvellement prescrits, respectivement recommandés, doivent continuer à faire impérativement l’objet d’un contrôle avant leur utilisation sur la base de données sur les médicaments Global DRO publiée sur le site www.antidoping.ch ou via l’appli mobile.
Sur ce site, vous trouverez la liste des interdictions 2020: www.antidoping.ch/fr/lois-et-reglements/droit-prive/liste-des-interdictions
D’ailleurs: les contrôles antidopage effectués en 2019 à l’occasion du Championnat suisse de la montagne à Massongex et aux Rangiers ont tous été négatifs.
Les pilotes contrôlés (Eric Berguerand, Ronnie Bratschi, Thomas Kessler, Roger Schnellmann et Marcel Steiner) ont tous été «propres».