Un changement spectaculaire de véhicule s'est produit dans le Championnat suisse de course de côte. En 2026, Ludovic Monnier (33 ans) prendra le départ au volant de la Golf championne de Danny Krieg.
Il reste encore 113 jours avant le premier slalom à Romont. Mais les jalons pour la saison prochaine sont déjà posés. En 2026, un pilote en particulier suscite beaucoup d'intérêt: Ludovic Monnier. Âgé de 33 ans, il habite à deux pas de la ligne de départ de l'ancienne course de côte de Massongex et s'est offert une nouvelle voiture. Et pas n'importe laquelle: la VW Golf Rally avec laquelle Danny Krieg a remporté cette année le Championnat suisse de course de côte dans la catégorie voitures de tourisme et la Coupe suisse de la montagne.
Monnier avait depuis longtemps «flashé» sur cette Golf blanche comme neige. «J'avais déjà jeté mon dévolu sur cette voiture lorsqu'elle appartenait encore au pilote de course de côte autrichien Franz Probst», explique Monnier. Fin 2023, elle est devenue la propriété de Danny Krieg. Ce dernier l'a conduite pour la première fois lors du slalom de Frauenfeld en 2024. Le reste appartient à l'histoire. Au cours de la saison écoulée, Krieg et sa Golf Turbo à quatre roues motrices ont fait la loi. Depuis mercredi, la voiture n'est plus dans le garage de Krieg, mais dans la vallée du Rhône, chez Ludovic Monnier. «J'avais dit à Danny que s'il voulait vendre la voiture un jour, il n'avait qu'à me contacter.»
Monnier est désormais l'heureux propriétaire de la célèbre VW Turbo. Et comme tout nouveau propriétaire, il a déjà collé son nom sur le pare-brise dès que la voiture est descendue du transporteur. Né à Montreux et résidant aujourd'hui dans le Valais, Monnier ne sait pas encore exactement à quoi s'attendre. Un premier test sur le circuit de Vaison (F) est prévu début 2026. Ludovic souhaite ensuite participer à plusieurs slaloms avec sa nouvelle voiture, notamment à l'ouverture de la saison à Romont les 4 et 5 avril. «Avant de pouvoir, je l'espère, disputer l'intégralité du Championnat de montagne avec un peu d'expérience.»
Il ne faut pas s'attendre à des miracles dès le début, estime Monnier. La première année sera une année test. «L'avantage de cette voiture, c'est qu'on peut monter dedans et démarrer. Le moteur vient d'être révisé. Et je ne changerai rien à la voiture avant le début de la saison, sauf bien sûr pour adapter la configuration à mes besoins.» Le changement de véhicule sera néanmoins passionnant pour les observateurs neutres. Monnier compte depuis des années parmi les pilotes de voitures de tourisme les plus rapides de Suisse. Il avait repris en 2015 la VW Golf qu'il conduisait jusqu'à récemment à Benoît Farine et l'avait continuellement améliorée au cours des dernières années. «Bien sûr, les temps réalisés par Danny sont pour moi une référence. Mais je veux avancer étape par étape. C'est pourquoi, au début, je ne vais délibérément pas m'y intéresser, mais simplement essayer de prendre du plaisir et de ne faire qu'un avec la voiture.»
Il y a environ 100 ch de différence entre son ancienne et sa nouvelle VW Golf, explique le fils de l'ancien pilote de course de côte Gilles Monnier. «Mais les plus grandes différences par rapport à l'ancienne voiture sont sans aucun doute le moteur turbo et la transmission intégrale.» Lorsqu'on lui demande si Monnier a reçu des conseils de son prédécesseur, l'homme au casque jaune sourit. «Danny m'a juste dit: attaque à fond!»
Afin d'attiser encore davantage l'impatience avant la pause de Noël, nous vous parlerons la semaine prochaine de la nouvelle acquisition de Krieg. Le pilote originaire d'Altendorf souhaite remporter son titre en voiture de tourisme en 2026 avec une Audi RS3 LMS TCR construite par Wolf Power Racing. Restez donc à l'écoute, cela promet d'être passionnant!
Le nouveau magazine d'Auto Sport Suisse paraît ces jours-ci. Nous vous souhaitons une agréable lecture et, par la même occasion, de joyeuses fêtes et une bonne année!
Dans le sport automobile, il y a toujours des surprises. Et parfois, il n'est pas nécessaire d'avoir la voiture la plus rapide et le moteur le plus puissant pour gagner. Deux exemples de ce genre ont été observés en 2025. Alessandro Grispino a remporté le Championnat suisse des slaloms, alors que seuls quelques audacieux l'avaient inscrit sur leur liste. Et dans le Championnat suisse des rallyes, Mathieu Zurkinden/Stéphane Pury, un duo que personne n'attendait, est monté sur le podium. Dans le nouveau magazine, ils racontent tous deux comment ils ont réussi leurs exploits.
Mais pour les parents de jeunes pilotes de karting, un autre article du magazine 04/2025 devrait être particulièrement intéressant. Nous avons discuté avec Jos Verstappen, le père du quadruple Champion du monde de Formule 1 Max Verstappen, de ses débuts et de ses expériences dans le sport automobile. Peut-être que certains pourront en tirer des enseignements.
Comme toujours, le magazine offre également beaucoup de divertissement et de plaisir de lecture, notamment avec une histoire à la fin de l'année qui ne se prend pas tout à fait au sérieux!
Nous vous souhaitons une bonne lecture et d'ores et déjà de joyeuses fêtes et une bonne année 2026!
Comme pour les dernières éditions, nous publions ici quelques articles tirés du magazine trimestriel d'ASS. Commençons par: Que fait donc Natacha Gachnang?
Tout était en place pour une brillante carrière. Dans le sillage de son cousin Sébastien Buemi, d'un an son cadet, Natacha Gachnang a commencé à courir à l’international en 2003, après plusieurs années passées en karting. Comme «Séb», la Vaudoise, alors âgée de 15 ans, avait misé sur l'ADAC Formule BMW, la très prestigieuse série junior dont Sebastian Vettel était 2e du classement général en 2003. Mieux encore: la jeune Aiglonne était coachée par Willi Weber, manager et «Monsieur 20 %» de Michael Schumacher pendant un an.
Natacha Gachnang a bien rempli sa mission au cours de sa première saison. Sa 4e place au Norisring lui a permis de se faire remarquer. En 2004, elle pointait déjà dans le top 12. Et lors de sa troisième année, elle a terminé 6e au classement général avec trois podiums. Mais alors que le cousin Sébastien poursuivait son ascension dans la Formule 3 Euro Series avec l'aide de Red Bull, la carrière de Natacha a marqué le pas. La Vaudoise n'est parvenue à s'imposer ni dans l'ATS Formula 3 Cup, ni dans la Formule Mazda américaine, ni dans la Formule 3 espagnole. En 2009, elle a rejoint le nouveau championnat de Formule 2 organisé par la FIA, qui n'avait rien à voir avec l'actuelle F2. Mais, là non plus, Natacha n'est pas parvenue à percer. Après une 23e place au classement général, elle s'est tournée vers les sport/prototypes. En 2010, elle a fait la une des journaux dans une Ford GT1 aux côtés de Rahel Frey et Cyndie Allemann, après un grave accident à Abu Dhabi (double fracture aux jambes). En 2012 et 2013, Natacha Gachnang a disputé les 24 Heures du Mans, terminant 5e de la catégorie LMP2 lors de sa deuxième tentative.
Fin 2015, Natacha Gachnang a mis un terme à sa carrière. Elle a pris ses distances avec la course automobile. De temps en temps, le pied droit la démange encore. Lors de la course de côte historique d'Ollon-Villars, fin août, elle a pris place dans une Cegga-Ferrari construite par Georges Gachnang, son grand-père (94 ans). Mais sa vie tourne depuis longtemps autour de sa famille (3 enfants) et de sa ferme. «Qui l'eût cru?», sourit-t-elle: «Au lieu d'être entourée de voitures de course, je suis aujourd'hui au milieu des vaches et produis mon propre fromage de chèvre.»
Malgré ce revirement à 180 degrés, Natacha Gachnang est en paix avec son passé de sport automobile: «Quand j'y repense, je me souviens surtout du temps où je voyageais avec mon père Olivier. Je lui dois beaucoup, j'ai vécu beaucoup de choses avec lui. La course automobile a été une bonne école, même si les décisions prises ne se sont pas toutes avérées judicieuses par la suite.» La Vaudoise évoque notamment le Nürburgring: «Ce circuit me rappelle beaucoup de souvenirs. En particulier une 2e place en Formule BMW en 2005, derrière – vous l'avez deviné – Sébastien Buemi.
Les moments forts de l'année! Retour sur le Championnat suisse de karting autobau 2025 par https://www.racingvisuals.ch/
Dimanche, les finales de la Swiss Simracing Series se sont déroulées au Motorworld Kemptthal (ZH). Chez les «pros», Thomas Schmid a remporté son sixième titre avec un point d'avance.
Pendant trois ans, les finales de la Swiss Simracing Series se sont déroulées à l'«Auto Zürich». Après le départ du sponsor principal Porsche, les responsables ont trouvé un nouveau lieu d'accueil avec la Motorworld à Kemptthal. C'est là que se sont déroulées dimanche dernier les finales de la Swiss Simracing Series, qui ont couronné cinq nouveaux champions.
L'un d'entre eux est bien connu dans le milieu: Thomas Schmid a remporté son sixième titre chez les «pros». Le nouveau champion suisse s'est imposé dans une finale passionnante face au champion de l'année dernière, Pascal Gehrig sur la piste virtuelle de Spa-Francorchamps. Mais avec seulement un petit point d'avance. «C'était extrêmement serré», a déclaré le vétéran Schmid. «Dans la première des deux courses, j'étais deuxième derrière Gehrig. Dans la deuxième course, je savais que je devais terminer devant lui pour gagner. Grâce à la ‹grille inversée›, je me suis retrouvé devant lui au départ. Et j'ai réussi à défendre cette position jusqu'à la fin.»
À propos du nouveau format et du véhicule spécialement conçu pour cette compétition, Schmid a déclaré: «Le format avec quatre courses, deux dans un centre et deux lors de la finale, a fait ses preuves. Il est toutefois assez imprévisible pour nous, les pilotes. La voiture est vraiment agréable à conduire. Comme elle n'a pratiquement pas d'aérodynamisme et qu'on peut donc rouler très près, les duels sont passionnants.»
Mais les pros n'ont pas été les seuls à se battre avec acharnement. Cinq autres catégories se sont également disputé la gloire et l'honneur. Voici les autres champions et les trois premiers de chaque catégorie:
Pro (18+)
1. Thomas Schmid (141 pts)
2. Pascal Gehrig (140 pts)
3. Fabrizio Donoso (121 pts)
Juniors (12-17 ans)
1. Andreas Lo Bue (143 pts)
3. Timéo Ruppen (124 pts)
Ladies (18+)
1. Vanessa Ruefenacht (143 pts)
2. Yves Senn (140 pts)
3. Bettina Buess (128 pts)
Plus de 50 ans
1. Gilbert Denzer (135 pts)
2. Atilla Altunok (125 pts)
3. Bruno Maurer (116 pts)
Open (catégorie Fun)
1. Lars Baumeler (150 pts)
2. Kevin Gelly (127 pts)
3. Thomas Vogt (119 pts)
Le dernier rapport du week-end de l'année traite du départ de Sauber de la Formule 1, du coup d'envoi de la douzième saison de Formule E au Brésil et de la belle performance de plusieurs Suisses au Rallye Dévoluy.
Le week-end dernier a été marqué par la finale de Formule 1 à Abu Dhabi. La course, plutôt fade, n'a été animée que par le suspense autour de la troisième place de Lando Norris, qui lui aurait permis de remporter son premier titre mondial. Le pilote McLaren a finalement réussi son pari. Toutes nos félicitations! Du point de vue suisse, le départ de Sauber a été l'événement le plus émouvant. L'équipe de Hinwil a disputé sa dernière course à Abu Dhabi sous les yeux du fondateur de l'écurie Peter Sauber et de Beat Zehnder, directeur sportif de longue date et lauréat du prix ASS. En 2026, le nom Sauber disparaîtra et l'écurie prendra le départ sous le nom de «Revolut Audi F1 Team». Après 617 Grands Prix (dont quatre ans sous le nom de BMW-Sauber), un chapitre de l'histoire du sport automobile suisse se termine. Avec la 9e place de Nico Hülkenberg lors de la dernière course, l'équipe a pu se réjouir une nouvelle fois de deux points au championnat du monde. Au classement final, Sauber a terminé à la neuvième place avec 70 points. Hülkenberg a terminé onzième du championnat du monde, son coéquipier Gabriel Bortoleto dix-neuvième.
Parallèlement à la Formule 1, la douzième saison de Formule E a débuté samedi à São Paulo. Trois Suisses étaient au départ: Nico Müller, Sébastien Buemi et Edoardo Mortara. Müller a obtenu le meilleur résultat suisse en terminant 5e pour sa première course en tant que pilote d'usine Porsche. «Nous avons fait une bonne course, même si elle était difficile et que nous n'étions peut-être pas dans la meilleure position au départ», a déclaré Müller. «Mais nous avons bien remonté le peloton et avons su tirer parti du mode attaque. Nous étions même en tête et avions toutes les chances de monter sur le podium. Mais au final, les phases de safety car nous ont fait perdre presque tout notre deuxième mode attaque, ce qui nous a coûté cher. Nous avons néanmoins obtenu un bon résultat. C'est un début solide.»
Pour Mortara, le début de la course a été problématique. Avant le premier virage, il est entré en collision avec son coéquipier Mahindra, sans que Mortara n'y soit pour rien. Le Genevois a pu continuer la course et aurait certainement marqué des points. Mais au 23e tour, Lucas di Grassi l'a poussé dans le mur. Buemi a terminé la première course de la saison à la 8e place. La course a été relancée après un accident de Pepe Marti peu avant la fin. L'Espagnol est sorti indemne de son accident. La victoire est revenue au Britannique Jake Dennis.
Le championnat saoudien de Formule 4 s'est achevé ce week-end sur le circuit de F1 de Djeddah. Après cinq week-ends de course, la Suissesse Chiara Bättig a terminé à la douzième place. Le meilleur résultat de la junior Red Bull a été une septième place.
De nombreux Suisses ont participé ce week-end au Rallye Hivernal du Dévoluy en France. Certains d'entre eux se sont sans doute préparés pour le Rallye de Monte-Carlo (22-25 janvier 2026). Le meilleur Suisse était Jonathan Hirschi, avec sa copilote Charlène Greppin (Citroën C3 Rally2), qui a terminé sixième. Olivier Burri (avec son copilote Gaëtan Aubry) a également terminé dans le top 10 avec sa Toyota GR Yaris Rally2, en huitième position. Le pilote Skoda Stefano Mella a également réalisé une belle performance en se classant 15e.
Petit ajout concernant le rallye: il y a une semaine, la Valaisanne Marine Maye a remporté le Rallye Régional Coeur des Vignobles en tant que copilote. Et la pilote suisse la plus rapide, Mireille Vidueira, a également pu se réjouir de sa deuxième place en RGT lors du Rallye du Var, auquel participait notamment Sébastien Loeb.
Petit pays, grands succès! La Suisse n'a plus rien à envier aux autres pays dans le domaine du karting international. Lors de la finale de la Champions of the Future Academy à Al Forsan (EAU), trois Suisses sont montés sur le podium!!!
Ken Allemann, chef de l'équipe Spirit, l'a résumé ainsi: «La Suisse est un petit pays, mais elle compte de nombreux jeunes pilotes talentueux.» S'il fallait encore une preuve, la finale de la Champions of the Future Academy à Al Forsan (EAU) était tout simplement idéale. Lors de la sixième et dernière manche du championnat Future Academy de cette année, trois Suisses, deux hommes et une femme, sont montés sur le podium.
Dans la catégorie OK-N Juniors, Albert Tamm (13 ans) a une fois de plus démontré son immense talent. Le jeune Tessinois a décroché la troisième place de la finale dans le dernier tour. Au classement général, Tamm a terminé 10e, mais l'ancien champion suisse Super Mini n'a disputé que cinq des six courses.
Chiara Bättig (15 ans) a fait encore mieux. La junior Red Bull a remporté la finale OK-N seniors à Al Forsan. Grâce à une excellente performance le week-end dernier, elle s'est classée deuxième du championnat et a ainsi été la meilleure femme du peloton. Dan Allemann (14 ans) a complété le podium en terminant troisième. Allemann n'a disputé que cette seule course dans le cadre de la Champions of the Future Academy, mais il s'est propulsé d'un seul coup à la 16e place du championnat avec 125 points en un week-end (deux points de plus que Bättig).
Avec Marlon Bayer (16 ans), un autre Suisse a terminé 6e de la finale et 7e du classement général (chez les seniors) lors de la dernière course dans le désert. Le meilleur pilote Mini était Lorenzo Zucchetto, qui a terminé cinquième au classement final.
Dimanche prochain, la finale de la Swiss Simracing Series aura lieu au Motorworld à Kempthal (près de Winterthur). 80 finalistes s'affronteront dans cinq catégories pour remporter le titre.
Depuis 2022, la finale de la Swiss Simracing Series avait lieu à l'occasion du salon «Auto Zürich». Cette année, les meilleurs simracers suisses disputeront leur finale au Motorworld Kempthal près de Winterthur. Et ce, ce dimanche à partir de 10h30.
La septième édition de la Swiss Simracing Series promet d'être passionnante. Dès le premier jour de course, les pilotes de simulation ont prouvé qu'ils maîtrisaient leur art. L'action et les duels dans le sillage ont été au rendez-vous. Le passage de la Porsche 911 GT3 Cup à la voiture de tourisme SSRS TC350, spécialement développée pour la Swiss Simracing Series, porte donc ses premiers fruits.
Et ce qui s'est passé sur le circuit virtuel Red Bull Ring devrait se poursuivre dimanche à Spa-Francorchamps. 80 finalistes s'affronteront dans cinq catégories. Dans chaque catégorie, au moins deux pilotes peuvent encore espérer remporter le titre. Dans la nouvelle catégorie Open sans licence, Lars Baumeler arrive en tête du classement général devant Thomas Vogt et Maio Brun. Chez les dames, qui prennent le départ avec les juniors, la championne en titre Yves Senn subit une forte pression de la part de Vanessa Ruefenacht, qui la devance d'un point au classement. Il en va de même pour les pilotes juniors. Ici, le Genevois Andreas Lo Bue et le champion junior en titre Orlando Eisenreich se partagent les places 1 et 2 du classement général, également à égalité de points.
La catégorie des plus de 50 ans promet également d'être très disputée. Les vétérans Gilbert Denzer et Michael Dedial occupent les deux premières places du classement, à égalité de points. Et ceux qui connaissent Denzer savent qu'il ne se laissera pas facilement détrôner. C'est exactement ce que Thomas Schmid compte bien empêcher dans le peloton très relevé de la catégorie Pro. Mais pour cela, le quintuple champion suisse devra mobiliser toutes ses compétences sur le circuit d'environ sept kilomètres. Avec le champion suisse en titre Pascal Gehrig et Fabrizio Donoso, il aura affaire à une concurrence redoutable.
Outre les nombreux pilotes de simulation, des personnalités suisses du monde de la course automobile sont également attendues dimanche à Kempthal. Le pilote DTM Fabio Scherer, le champion suisse de course de côte en titre Robin Faustini ainsi que le pilote et instructeur Fredy Barth se sont déjà inscrits. Afin que tout se déroule dans les règles, des commissaires sportifs agréés par Auto Sport Schweiz seront présents. Sur la chaîne YouTube de RacingFuel Simulators, les présentateurs Christian Mettler, Enzo Lo Bue et Jörg Petersen accompagneront les spectateurs tout au long de la journée de course, de 10h25 à 18h15.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.simracingseries.ch et www.race-centers.com
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