BZ Consult

Les dernières nouveautés

26.04.2024 30 ans de l'Atelier de la Tzoumaz
Kevin Metroz Chamblon 2023 Eichenberger Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Le club «Atelier de la Tzoumaz» aura 30 ans demain samedi © Eichenberger

Samedi, l'association «Atelier de la Tzoumaz» fêtera son 30e anniversaire. Auto Sport Suisse le félicite et publie ici l'article sur le club valaisan paru dans la REVUE AUTOMOBILE 46/2023.

Un maximum de plaisir pour une cotisation minimale, tel est le credo de «l'Atelier de la Tzoumaz». L'adhésion à l'écurie valaisanne coûte 50 francs. Celle-ci compte désormais 179 membres – tendance à la hausse. Une bonne centaine de membres sont actifs régulièrement dans le monde du sport automobile avec différents rôles (pilotes, copilotes, actifs au sein de différentes organisations), dont une quarantaine qui roule. Les autres sont des membres passifs. Mais personne n'est passif dans ce club. Surtout pas le comité directeur. L'Atelier de la Tzoumaz a à sa tête une jeune présidente, Lise Gaudin (30 ans), qui fait son travail avec beaucoup d'enthousiasme.

L'association a été fondée en 1994 par quelques amis de la région d'Ayent qui se sont regroupés en un club de passionnés de voitures. Puis, en 2002, l'Atelier de la Tzoumaz a fait un pas de plus en s'inscrivant comme écurie officielle auprès de l'association Auto Sport Suisse. Dès lors, les membres du club ont pu courir sous les couleurs de la Tzoumaz lors de compétitions officielles.

Bien que le club soit enraciné en Valais, il n'est pas nécessaire d'être valaisan pour y adhérer. Le club vit selon la devise: tout le monde est le bienvenu. «Dès le début, nous avons accueilli des personnes intéressées d'autres régions de Suisse», explique Gaudin. Outre des pilotes comme Eric Berguerand (sept fois champion suisse de la montagne), Mike Coppens (champion suisse des rallyes 2021 et double vainqueur du Rallye du Valais) et Jonathan Michellod, qui vient de manquer de peu le titre de champion suisse des rallyes, d'autres pilotes connus font partie de l'équipe de «La Tzoumaz». Ainsi par exemple: Nicolas Lathion, Aurélien Devanthéry ou Victor Darbellay. Ou encore des non-Valaisans comme Frédéric Neff.

1 Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Pour les membres, du drift sur glace est organisé trois fois par an sur le circuit de la Flaine

A propos des non-Valaisans: le terme «La Tzoumaz» n'a rien à voir avec la station de ski de La Tzoumaz, liée à Verbier. Il y a plusieurs La Tzoumaz en Valais. «Ce terme décrit une halte entre l'étable et l'alpage pour les troupeaux de vaches. Et c’est un lieu dit entre Ayent et Anzère, là où tout a commencé», nous explique Lise Gaudin, présidente du club depuis novembre 2018. D'ailleurs, Gaudin est arrivée à ce poste un peu par accident. Lorsque son prédécesseur a annoncé sa démission, le club s'est mis à la recherche d'un nouveau président. «Lors d'un apéritif, je me suis présentée à un ami comme successeur, sur le ton de la blague. Celui-ci en a parlé autour de lui et c'est ainsi que j'ai été élue.»

Comme la plupart des associations, «l'Atelier de la Tzoumaz» propose à ses membres diverses attractions. Trois fois par an, le club invite ses membres à faire de la dérive sur glace sur le circuit de la Flaine, dans le massif du Mont-Blanc. Lors des éditions de cette année, le coût de cet événement s'élevait à environ 270 francs (sans assurance). En 2020 et 2021, le Covid a également organisé «La Balade de la Tzoumaz», une randonnée gourmande et ludique sur les routes des légendaires rallyes du Valais. Celle-ci devrait avoir lieu à nouveau en 2024. Le club propose également à ses membres de participer à la sortie circuit à Dijon organisée par l’Ecurie de Lions.

La relève n'est pas non plus négligée par le club de sport automobile valaisan. En 2022, il a été décidé d'offrir la licence à tous les pilotes et copilotes de moins de 28 ans déjà membres du club, grâce à un fonds créé les deux années précédentes pour soutenir les jeunes pilotes de course.

L'Atelier de la Tzoumaz est également coorganisateur de la course de côte Ayent-Anzère. Pour les membres actifs, cela signifie que ceux qui veulent participer au championnat interne n'obtiennent des points que s'ils ont travaillé bénévolement d'une manière ou d'une autre pour la course de côte Ayent-Anzère. Les résultats du Championnat interne 2023 seront communiqués aux membres le 18 novembre lors de l’Assemblée générale, encore un peu de suspense alors. Le club décerne des prix dans 3 catéorgies: Vitesse, Rallye et Copilote. «Il n'y a pas de gros prix à la clé», explique Gaudin. «La compétition interne doit avant tout être un plaisir et renforcer l'esprit de solidarité.»

La présidente elle-même ne prend pas le volant. En revanche, Gaudin est impliquée dans l'organisation de la course de côte d'Anzère et des deux plus grands rallyes de Suisse, le Rallye du Valais et le Rallye du Chablais. Elle n'exclut toutefois pas catégoriquement de «s’asseoir dans le baquet de droite un jour. Ça me plairait bien de participer à un rallye.» Comme nous l'avons dit: la femme est enthousiaste.

Tzoumaz Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
L'association organise également des rencontres de clubs comme ici «La Balade de la Tzoumaz»

Lien permanent

25.04.2024 Formule 2 de Siffert à Frauenfeld
Jeremy Siffert Chevron F2 01 Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Le Chevron de Siffert avec Jérémy Siffert (tout à droite) ainsi que Fredy Lienhard sr. (deuxième à droite) et Fredy Alexander Lienhard (devant à gauche) © autobau Erlebniswelt

Lors des journées de courses automobiles de Frauenfeld, quelques véhicules intéressants d'un point de vue historique sont également en action. L'une d'entre elles est l'ancienne voiture de Formule 2 Chevron de Jo Siffert, qui appartient aujourd'hui à Fredy Lienhard.

Ce week-end, les spectateurs des journées de course automobile de Frauenfeld ne profiteront pas seulement des véhicules «modernes» sous la forme du coup d'envoi de la saison du Championnat suisse des slaloms, il y aura aussi l'un ou l'autre délices historiques. Nous souhaitons nous pencher sur l'un d'entre eux en particulier: la Chevron B18 avec le numéro de châssis 3, l'ancienne voiture de formule 2 de Jo «Seppi» Siffert.

En fait, Siffert avait suffisamment à faire en 1971 avec son engagement en Formule 1 avec B.R.M. et son contrat de pilote d'usine chez Porsche. Mais au printemps 71, l'énergique Fribourgeois a également pris en charge la représentation du constructeur britannique de voitures de course Chevron sur le continent. Comme il se doit, il a bien sûr conduit lui-même la Formule 2 Chevron. Et pas au coin de la rue. Siffert a participé à sa première course avec la Chevron B18 à Bogotá. Le fait qu'il ait gagné la course du premier coup est typique de Siffert. Certes, il n'est parti qu'en 9e position, mais cela n'a pas empêché «Seppi» de remporter les deux manches de la course. Au cumul des deux manches, il a relégué Graham Hill (Lotus) à la deuxième place et Peter Westbury (Brabham) à la troisième, tandis que son collègue de marque Xavier Perrot, qui utilisait la deuxième Chevron de Siffert, a terminé sixième.

Siffert, qui a été nommé «King of Bogotá» grâce à son succès, a de nouveau couru dans la capitale colombienne peu après. Cette fois-ci, il n'a toutefois obtenu «que» la 6e place au classement général. Siffert a certes de nouveau remporté la première manche, mais il a été éliminé peu avant la fin de la deuxième. Siffert a encore participé à d'autres courses en 1971 avec la B18: le 14 mars à Mallory Park, le 11 avril à Thruxton, le 2 mai sur le Nürburgring et pour la dernière fois le 31 mai à Crystal Palace.

Ce week-end, la Chevron B18, aujourd'hui propriété de Fredy Lienhard, effectuera des tours de démonstration lors des Autorenntage à Frauenfeld. Jérémy Siffert, petit-fils de «Seppi» Siffert, décédé dans un accident en octobre 1971, est au volant de cette voiture de course F2 de 410 kg, qui atteint une vitesse maximale d'environ 245 km/h avec sa puissance de 220 ch.

Parmi les autres joyaux historiques, on trouve à Frauenfeld la BMW M3 qui a triomphé à Macao en 1991 avec Emanuele Pirro, la Tecno Formule 2 de Clay Regazzoni de 1969 et une Formule 3000 Reynard 89D provenant du fonds de l'Eddie Jordan Racing. Si l'auteur de ces lignes n'a pas encore de trous de mémoire, cette voiture devrait être l'ex-Jean Alesi de 1989.

Jeremy Siffert Chevron 02 Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Jérémy Siffert, le petit-fils de Jo Siffert, fera des tours de démonstration à Frauenfeld au volant de la Chevron B18 Formule 2 © autobau Erlebniswelt

Lien permanent

25.04.2024 Les éloges d'un expert en simracing pour les Young Drivers
Maxim Harder YDP 2024 Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Le Young Driver Maxim Harder était constamment rapide © Eichenberger

Mardi, une soirée simracing était au programme dans le cadre du projet Young Driver. La relève a ensuite reçu les éloges de l'expert en simracing Wani Finkbohner.

Répartis sur deux sites (piste de karting de Lyss et RacingFuel Academy de Horgen), onze jeunes pilotes de course ont participé mardi soir à un événement de simracing dans le cadre du projet Young Driver. Pour les jeunes coureurs et coureuses, il s'agissait, lors de l'entraînement, des qualifications et de la course, de se préparer au test de Formule 4 à venir avec Jenzer Motorsport. Les jeunes pilotes de karting ont passé plus de deux heures au volant de leurs bolides virtuels. Un acte de force et de concentration qu'il ne faut pas sous-estimer.

Cela a valu à la fin des félicitations de la part de Wani Finkbohner, l'exploitant de la RacingFuel Academy à Horgen, qui s'est lancé dans le simracing en 2007 et qui a depuis dessiné et produit plus de 300 simulateurs avec son équipe. «Je n'ai vu mes collègues rouler qu'à l'écran à Lyss, mais je dois adresser un grand compliment à tous pour le haut niveau auquel ils ont tenu pendant deux heures. La classe 2024 des Young Drivers est extrêmement concentrée. C'était un plaisir de les regarder.»

YDP 2024 Simracing Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Pendant la pause, les points de freinage et de changement de vitesse ont été notés © Eichenberger

Les vainqueurs des quatre courses ont été Tiziano Kuznini (première course), Maxim Harder (deuxième course) et Timéo Ruppen (courses 3 et 4), qui avait terminé le projet Young Driver à la troisième place finale l'année dernière. «L'expérience acquise dans le simulateur était visible chez certains participants», explique Finkbohner. «Mais même ceux qui avaient moins d'expérience se sont vraiment investis et se sont améliorés en permanence.» Le fait est qu'aujourd'hui, la conduite sur simulateur fait partie intégrante du parcours d'un pilote professionnel. Certains jeunes pilotes de la relève s'entraînent donc assidûment ou participent même à des championnats.

«De nombreux pilotes professionnels viennent chez nous pour se préparer aux courses», explique Finkbohner qui ne se fait pas d'illusions sur le fait que les simulateurs de course puissent remplacer les vrais sports mécaniques ou que les sensations de conduite soient les mêmes. Ce n'est pas non plus l'objectif de sa mission, précise le chef de la RacingFuel Academy. Il voit plutôt dans ses fabrications individuelles un outil qui reproduit le plus fidèlement possible la réalité. «Quiconque a déjà pris place dans une vraie voiture de course sait qu'il existe des paramètres que nous ne pouvons guère ou pas du tout simuler dans le monde virtuel avec nos simulateurs.»

Les Young Drivers, semblait-il, n'avaient cure de cette «lacune» mardi soir. Après de nombreux tours sur le circuit virtuel de Bresse, ils sont bien préparés pour le test de Formule 4 en octobre.

Timeo Ruppen YDP 2024 Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Timéo Ruppen au Simcenter de Lyss a remporté deux courses © Gaffuri

Lien permanent

24.04.2024 Aperçu Slalom de Frauenfeld: Egli va-t-il rester invaincu?
Egli Wyss Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Philip Egli a déjà gagné huit fois à Frauenfeld © Wyss

Le coup d'envoi du Championnat suisse des slaloms 2024 qui aura lieu le week-end prochain à Frauenfeld promet d'être particulièrement tendu. Avant même le début de la saison, une chose est sûre: il y aura un nouveau champion cette saison!

Ce week-end, le coup d'envoi de la saison du Championnat suisse des slaloms 2024 sera lancé dans le cadre des Journées de l'automobile à Frauenfeld. 142 pilotes ont envoyé leur inscription NAT et dévoilent ainsi leurs cartes pour la première fois de la nouvelle saison. Le favori incontesté pour la victoire du jour est Philip Egli, qui fêtera ses 40 ans en juin, avec sa Dallara jaune de Formule 3. Ce Glaronais, qui vit à Zurich, vise déjà sa neuvième victoire consécutive lors de la course de Frauenfeld! Avec les Bernois Thomas Zürcher et Marcel Maurer, ce sont deux adversaires de taille qui viennent de leur propre classe. Lukas Eugster leur disputera à tous la victoire finale sur une voiture de sport Ligier-Honda. En 2022 et 2023, l'Appenzellois était le seul à avoir réussi à vaincre Philip Egli au moins une fois sur le circuit de l'aérodrome d'Ambri. «Le parcours de Frauenfeld est exigeant, mais pas aussi rapide que les autres courses», explique Egli qui est invaincu depuis 2015. «Après la longue et rapide ligne droite de départ, il faut d'autant plus trouver rapidement un bon flux et prendre le plus de vitesse possible même après les portes lentes.»

Pour Egli, la saison de slalom 2024 pourrait être une nouvelle étape importante. Il a déjà 48 victoires journalières à son actif. S'il parvient à s'imposer à Frauenfeld il pourrait bien viser sa 50e victoire du jour lors de la deuxième manche à Bière, une semaine plus tard. Cependant, Egli n'a pas seulement cette performance en ligne de mire, il pourrait également remporter le titre en 2024 en raison d'un changement de règlement. En effet, si Philip Egli gagne à Frauenfeld et lors des cinq autres manches du CS ou s'il perd tout au plus une fois de justesse, comme cela a été le cas par le passé, il pourrait être sacré champion suisse de slalom pour la première fois. Comme chaque classe composée d'au moins cinq participants a droit à la totalité des points, il pourrait y avoir plusieurs concurrents en tête du classement à la fin de la saison, comme cela s'est déjà souvent produit. Après une modification du règlement sportif en 2024, le champion sera celui qui aura battu le plus d'adversaires au classement général et pas seulement dans sa catégorie. «Si je n'avais que des victoires au classement général, je serais dans ce cas champion – mais je n'y suis encore jamais parvenu. Je vais cependant essayer», tel est l'objectif d'Egli.

Burri Eichenberger Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Le vice-champion Stephan Burri ne se considère pas comme un favori © Eichenberger

Une chose est déjà sûre: en 2024, il y aura un nouveau champion. Le champion de l'année précédente, Martin Oliver Bürki, a annoncé il y a plusieurs mois déjà son intention de ne pas défendre son titre. De bonnes chances (à côté d'Egli) sont donc accordées au vice-champion Stephan Burri sur sa VW Scirocco. Le Bernois, qui est devenu garagiste à Affeltrangen (TG), a obtenu le maximum de points en 2023, après déduction d'un résultat à biffer, comme le champion Martin Oliver Bürki. S'il n'avait pas «attrapé» un pylône lors de la première course à Ambri, il aurait remporté le titre. «Personnellement, je ne me considère pas comme le favori», dit Burri. «Avec le changement de règles, j'ai Egli et Eugster sur la liste. Et chez moi, dans la catégorie Interswiss jusqu'à 2000 cm3, il faut aussi toujours compter à Frauenfeld avec le champion local Manuel Santonastaso. Il sera certainement très rapide.»

Le Tessinois Christian Bralla peut également espérer remporter le titre. Lui aussi a marqué 100 points l'année dernière. Il n'a connu des difficultés qu'à Bure, sur un circuit sur lequel il n'avait jamais roulé auparavant. Avec le plus mauvais résultat des 4 premiers en 2023, Bralla n'a donc pas atteint le podium. En 2024, il sait ce qui l'attend à Bure. Avec sa Fiat X1/9, il compte en tout cas parmi les candidats au titre.

Bralla myrally ch Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Christian Bralla doit être pris en compte © myrally.ch

Le slalom de Frauenfeld marque également le coup d'envoi du nouveau Championnat junior, qui combine quatre slaloms et quatre courses de côte. Il existe un classement pour les juniors – avec deux résultats à biffer: un lors d'un slalom, un lors d'une course de côte. Le champion ou la championne sera celui ou celle qui obtiendra le plus de points dans sa catégorie (voitures de tourisme ou de course). Les participants et participantes au championnat junior de montagne/slalom sont reconnaissables grâce à des autocollants supplémentaires apposés sur leur voiture et sont habillés individuellement. Jannis Jeremias dans les voitures de tourisme ainsi que Lionel Ryter dans les voitures de course font partie des prétendants les plus prometteurs.

Le coup d'envoi sera donné samedi matin à 8h30 sur la piste de 3,2 kilomètres de Frauenfeld avec les manches de reconnaissance et d'entraînement des catégories LOC, pour lesquelles environ 190 concurrents et concurrentes se sont inscrits. Les points seront aussi en jeu dans la Suzuki Swiss Racing Cup . La Suzuki Cup disputera deux courses à Frauenfeld, la première à partir de 10h40 et la seconde à partir de 13h15. Les classes NAT seront ensuite en piste le dimanche à partir de 9h00. Les courses auront lieu à partir de 14h25. Le classement se fera sur la plus rapide des deux manches. Comme les deux années précédentes, l'entrée pour le public sera gratuite, les visiteurs pourront donc se déplacer librement dans les zones indiquées et également dans le paddock. L'organisateur est l'ACS Thurgovie.

Vous trouverez de plus amples informations sous ce lien.

Dates du Championnat suisse des slaloms 2024
27/28 avril, Frauenfeld
4/5 mai, Bière
18/19 mai, Bure
25/26 mai, Ambri (manifestation double)
22/23 juin, Chamblon

Plakat Frauenfeld Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
L'entrée aux «Auto-Renntage de Frauenfeld» est gratuite

Lien permanent

23.04.2024 Rapport du week-end 09/2024
Sebastien Buemi Imola 2024 Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Sébastien Buemi a terminé cinquième aux 6h d'Imola © Toyota

Ce n'était pas le week-end des Suisses sur la scène internationale. Lors de la première édition du WEC à Imola, seul Sébastien Buemi s'est classé dans le top 5.

Pour l'élite suisse de la course automobile, il n'y avait pas ou peu de raisons de se réjouir ce week-end sur la scène internationale. Lors de la première WEC à Imola, seul le pilote d'usine Toyota Sébastien Buemi s'est classé dans le top 5, mais le Vaudois n'a pas pu faire mieux que de féliciter sa voiture sœur pour sa victoire. «Je suis déçu du résultat», déclare Buemi. «Après tout, nous avons gagné quelques positions en partant de la 8e place. Et si l'on considère les problèmes que nous avons rencontrés lors de la première course au Qatar, nous avons fait de gros progrès en tant qu'équipe.»

Derrière Buemi, Nico Müller (nouvelle Peugeot 9X8) s'est classé neuvième et Edoardo Mortara (Lamborghini SC63) douzième. Neel Jani (sur la Proton-Porsche) a dû abandonner la course pour la huitième place en raison d'une unité MGU défectueuse. La course de Raffaele Marciello était déjà terminée après quelques mètres. La BMW du Tessinois a été impliquée dans un carambolage au départ. La réparation qui s'en est suivie a relégué Marciello en queue de peloton, transformant les 6h d'Imola en essais en conditions de course.

Dans la catégorie LMGT3, les Suisses n'ont pas non plus connu de succès. Grégoire Saucy (McLaren 720 S LM GT3 EVO) et Thomas Flohr (Ferrari 296 LMGT3) ont dû se contenter des 11e et 12e places.

Nico Mueller Imola 2024 Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Nico Müller au volant de la nouvelle Peugeot 9X8 a terminé neuvième © Peugeot

Ce week-end, les choses ne se sont pas mieux passées de l'autre côté de l'Atlantique du point de vue suisse. Louis Delétraz (Acura) a abandonné lors de la course IMSA de Long Beach après avoir touché la glissière de sécurité. Philipp Ellis (Mercedes) a terminé septième dans la catégorie GTD.

Pour Dario Cabanelas, le week-end de course s'est terminé dans les points de l'Eurocup F3, à la huitième place; la deuxième course à Spa-Francorchamps ayant dû être annulée en raison de la météo capricieuse.

À propos de Spa, la course de 12 heures a tout de même donné lieu à quelques succès suisses. Tim Müller, de l'équipe HAAS RT, est monté sur la deuxième marche du podium. Ernst Inderbitzin a réussi le même exploit en cat. GT3 ProAM. Et Linus Diener et Nicolas Stürzinger ont même remporté une victoire de classe dans la catégorie 992 AM avec la Porsche 911 GT3 Cup de l'équipe HRT Performance. Alex Fontana, Yannick Mettler et Ivan Jacoma. Le trio était en tête avec 45 secondes d'avance lorsque l'arbre de transmission a cassé, les reléguant ainsi à la quatrième place de la catégorie.

Linus Diener Nicolas Stuerzinger Motorsport Suisse | Auto Sport Suisse
Le duo Porsche Diener/Stürzinger a remporté la classe 992 AM © 24H

Lien permanent

Associés

Membre de

Équipementier