Le jeudi 5 mars, Michel Schaer est décédé à l’âge de 74 ans après une longue maladie grave.
Schaer a fait énormément pour le sport motorisé et cela bien au-delà de la région de Fribourg. Domicilié à Villarimboud, il a été non seulement directeur de course des deux slaloms Clôture (aujourd’hui Slalom Drognens) et Romont, mais il a été également chef des pistes lors de la course de côte de La Roche-la Berra et organisateur de ces manifestations.
En dehors de son activité de directeur de course, il a également assumé la fonction de Président de la commission sportive de l’ACS Fribourg et de commissaire technique. Ses connaissances professionnelles et son engagement pour la course automobile étaient exemplaires.
Auto Sport Suisse présente à sa femme Danielle, ses enfants et ses petits-enfants, à sa famille, aux proches et à ses connaissances ses sincères condoléances.
Le Coronavirus continue à nous tenir en haleine. Après l’annulation du coup d’envoi de la saison du Championnat suisse de karting autobau à 7 Laghi, Auto Sport Suisse a maintenant aussi pris des mesures pour les formations/cours/instructions prévus prochainement.
Le Conseil fédéral et l'Office fédéral de la santé publique OFSP ont annoncé vendredi passé au soir (6 mars) d'autres mesures en rapport avec la propagation du coronavirus. Auto Sport Suisse a également réagi aux directives renforcées et annule par conséquent tous les formations, cours et instructions jusqu’à la fin mars pour protéger toutes les personnes des risques d’infection et de quarantaine.
Ce sont concrètement les manifestations suivantes qui sont concernées:
14 mars, Formation des directeurs de course et commissaires sportifs, Egerkingen
21 mars, Formation des fonctionnaires, Büren a.A.
24 mars, Séance des organisateurs Suisse alémanique, Egerkingen
28 mars, Séminaire des commissaires techniques, Berne
31 mars, Séances des organisateurs Romandie, Gruyère
Pour tous les autres cours, notamment ceux qui ne sont pas organisés par Auto Sport Suisse, il appartient à l’organisateur correspondant de décider comment gérer la situation actuelle.
Il s’agit notamment des manifestations suivantes :
14 mars, Formation des fonctionnaires, Gollion (organisateur AOR)
23/24 mars, Cours de licence ACS, Hockenheim (organisatrice section ACS de Berne)
Il en va de même des manifestations prochaines comme par exemple la Kappelen-Trophy (organisatrice piste de karting de Lyss) du 21 mars ou du coup d’envoi du Championnat suisse des slaloms à Interlaken le 4 avril (organisatrice section ACS de Berne).
Auto Sport Suisse se réfère ici encore une fois aux directives de l’OFSP. Vous trouverez ci-après sous forme de fichier PDF la liste des autorités cantonales qui décident si une manifestation rassemblant jusqu’à 1000 personnes peut avoir lieu ou non.
Le coup d’envoi du Championnat suisse de karting autobau du 5 avril est annulé. Cette course à 7 Laghi en Italie ne pourra pas avoir lieu comme prévu en raison du risque latent du coronavirus.
Le coronavirus a donc également imposé l'annulation de la première manifestation de sport automobile dans le cadre du Championnat suisse. La première course du Championnat suisse de karting autobau à 7 Laghi en Italie ne pourra pas avoir lieu comme prévu en raison de la situation actuelle due au coronavirus. L'association Kart Sport Promotion, qui est responsable de l'organisation, a décidé, après une analyse approfondie des risques, que cette course ne pouvait pas avoir lieu près de Milan.
Il sera décidé ultérieurement si la course sera rattrapée à une date ultérieure ou si le CSK autobau 2020 ne comportera que cinq (au lieu de six) courses.
La direction d'Auto Sport Suisse soutient cette décision. Le risque d'organiser une course dans le nord de l'Italie, qui est particulièrement menacé par le coronavirus, est clairement trop grand, déclare Patrick Falk, directeur d'Auto Sport Suisse. La priorité absolue est d'exposer le moins possible les participants et le personnel au risque d'infection et de quarantaine.
Il reste à voir si les courses en Suisse (Kappelen-Trophy le 21 mars ou Slalom Interlaken le 4 avril) devront également être annulées. Auto Sport Suisse se réfère à l'article déjà publié lundi sur notre site. Il stipule notamment que les organisateurs suisses de manifestations de sport automobile doivent tenir compte des réglementations cantonales et nationales en vigueur. Nous joignons encore une fois à la présente la liste des adresses de contact.
En termes de victoires journalières, Philip Egli a été le pilote suisse le plus titré en 2019. Né à Glaris, Egli a remporté sept des huit slaloms. Il lui sera difficile de faire mieux que cela. Mais pour quelqu'un qui a déjà remporté 35 victoires au total, ce n'est pas mission impossible.
Jusqu'à une date récente, les courses automobiles ne jouaient qu'un rôle mineur dans la vie quotidienne de Philip Egli. Depuis la finale à Ambri en octobre passé, Egli n'a plus fait d'apparition en tant que pilote de course. Ce n'est que depuis le week-end dernier que le Glaronnais, domicilié à Zurich, s'occupe à nouveau de sa Dallara F393 EPR-2: «Auparavant, je n'avais jamais trouvé le temps de préparer la voiture pour la course», déclare Egli. «D'abord à cause du travail, et ensuite parce que j'ai encore fait en voyage en Afrique de l'Est pendant un mois.»
Cette année aussi, Egli va se concentrer sur le championnat des slaloms. Mais quatre autres courses figurent encore à son programme: Les Rangiers, Oberhallau et Gurnigel ainsi que la course du Kerenzerberg qui se déroulera devant son ancien domicile à Mollis. L'année dernière, Egli, 35 ans, a dominé le championnat des slaloms. Avec sept victoires journalières en sept courses, il est arrivé en finale à Ambri. «Mais je n'y ai pas connu un week-end très performant», constate de manière autocritique Egli. Une troisième place derrière les vainqueurs Marcel Maurer et Lukas Eugster a tout de même fait perdre à Egli sa place sur le podium au classement général. Mais ce n'était pas un désastre pour le pilote de Formule 3. Le plaisir est en effet prioritaire à ses yeux. «Je ne peux de toute façon pas gagner le titre de champion suisse tout seul en raison du nombre de concurrents dans ma classe. Si j'avais été à nouveau au sommet à Ambri, je serais resté troisième. Mais je ne pense de toute façon jamais au titre.»
L'Egli poursuit donc généralement d'autres objectifs. «Faire une nouvelle tentative pour gagner toutes les courses en 2020 me tente évidemment. Mais je ne pense pas que ce soit possible. La concurrence est forte. On a déjà pu le voir à Ambri.» Ce qui motive Egli, c’est remporter certaines victoires individuelles, améliorer ses propres temps et établir de temps à autre un nouveau record de temps.
Le championnat commencera pour Egli dans un mois, à savoir le 4 avril à Interlaken. À condition, bien sûr, que le coronavirus, qui a déjà conduit à l'annulation de nombreuses manifestations sportives, ne vienne pas gâcher le début du championnat suisse des slaloms dans l'Oberland bernois.
«Je me tiendrai en tous les cas prêt», déclare Egli avec défi. «Et j'espère vivement que cela sera également le cas de mes concurrents. Je suis de toute façon ravi qu'avec Marcel Maurer, Lukas Eugster, Tom Zürcher et Yves Hängärtner, le nombre des coureurs qui se battront en 2020 pour la victoire du jour soit plus grand en 2020. Cela me stimule.»
D'ici là, il ne sera pas à court de travail, notamment sur le chantier. Egli est contremaître chez l'entreprise Specogna AG à Kloten. À ce titre, il est responsable de l'extension de la ligne ferroviaire de la vallée de la Limmat sur un tronçon à Schlieren (ZH). Tout comme en slalom, il semble y avoir tout sous contrôle.
Pour la quatrième fois consécutive, un Championnat junior aurait dû être organisé dans le cadre des Championnats suisses de la montagne. Or ce projet a été annulé en raison du manque de participants intéressés.
Pour une fois, ce n'est pas le coronavirus qui nous contraint d’annuler un événement sportif. Le fait qu'il n'y aura pas de championnats suisses juniors de la montagne en 2020 a d'autres raisons. Yves Meyer, propriétaire et directeur du Swiss Driving Event Seelisberg, explique: «C'est un jour noir pour la relève suisse des courses de côte. Dans la quatrième année du Championnat suisse de la montagne junior, nous n'avons pu accueillir que sept jeunes pilotes intéressés et motivés. Malheureusement, trois conducteurs ont maintenant renoncé à y participer. Avec seulement quatre pilotes confirmés, il n'est pas possible d'organiser un championnat d'un point de vue sportif et financier. Nous nous voyons donc contraints d'annuler le Championnat suisse junior de montagne de cette année.»
À la date de clôture des inscriptions, le 13 janvier, seules six inscriptions avaient été reçues pour la Swiss Race Academy 2020 ou le Championnat suisse de la montagne. Or il en aurait fallu au moins huit. Toutefois, afin de pouvoir effectuer malgré tout une véritable sélection, le délai d'inscription a été prolongé. En outre, les titulaires de licences NAT jusqu'à l'âge de 28 ans ont également été autorisés à s'enregistrer. Fin janvier, sept nouveaux arrivants ont ensuite été présentés – dont une femme. Mais comme trois d'entre eux ont maintenant fait marche arrière, il n'y aura pas de nouveau champion junior en 2020.
Les précédents lauréats étaient Rolf Reding (2017), Thomas Schmid (2018) et Rico Thomann (2019).
Le coronavirus continue de faire la une des journaux. De nombreuses manifestations sportives ont déjà été annulées. Sous peu, les manifestations de sport automobile en Suisse et celles à l'étranger qui font partie du Championnat suisse pourraient également être touchées.
Le coronavirus bouleverse le monde depuis plusieurs semaines. Il a commencé en Chine et s'est maintenant étendu à de nombreux autres pays. Entre-temps, les premiers cas ont également apparu en Suisse. Il n'est pas encore possible de prévoir les répercussions que cela aura sur les manifestations de sport automobile en Suisse ou dans les pays voisins. Les premières courses qui seraient affectées par une éventuelle annulation sont le Trophée Kappelen du 21 mars, le Slalom d'Interlaken du 4 avril et le coup d'envoi du Championnat suisse de karting CSK autobau à 7 Laghi du 5 avril.
Aujourd'hui, la situation est la suivante : le Conseil fédéral a interdit toute manifestation de plus de 1000 personnes dans toute la Suisse jusqu'au 15 mars 2020 au moins – cf. lien. Pour les manifestations de moins de 1000 personnes, les organisateurs doivent évaluer les risques avec les autorités cantonales compétentes afin de déterminer s'ils peuvent les organiser ou non. La plupart des cantons ont spécialement mis en place à cet effet des lignes téléphoniques d'urgence à l'intention des organisateurs de manifestations. Vous trouverez de plus amples informations sur les sites web des différents cantons (cf. fichier PDF ci-dessous).
Pour plus d'informations, ainsi que pour les questions et réponses concernant le coronavirus, veuillez consulter le site de l'OFSP.
Après la fin de la saison 2019, lorsque l'actuel directeur de course, Peter Boontjes, a démissionné pour des raisons professionnelles, Auto Sport Suisse a pourvu le poste de directeur de course de l’autobau Championnat Suisse de Karting 2020.
Avec le Français Joel Blanc, nous avons trouvé un directeur de course qui connaît bien les courses internationales et qui a une très bonne expérience des événements de la CIK-FIA. Ces dernières années, il a non seulement géré des courses en France (FFSA), mais aussi de nombreux événements internationaux dans le cadre des événements de la CIK-FIA.
Nous nous réjouissons de cette nouvelle coopération et souhaitons à Joel Blanc des débuts réussis dans l'autobau CSK 2020.
En 2020, Marcel Steiner se déplacera de plus en plus à l'étranger. Mais il sera encore présent pour la moitié des courses de côte en Suisse. Quand il fera tourner son nouveau Honda Turbo, il pourrait même mettre en difficulté le champion Éric Berguerand.
Comme on le sait, Marcel Steiner ne participera e 2020 pas à toutes les courses du Championnat suisse de la montagne. Il en a actuellement quatre à son agenda: Reitnau, Les Rangiers, Oberhallau et Gurnigel. Ce pilote d'Oberdiessbach ne participera pas autres manifestations.
Ceux qui imaginent que, après la décevante saison 2019, Steiner n'osera pas affronter le champion de la montagne Éric Berguerand et préférera donc courir à l'étranger se trompent lourdement. «Je ne cherche pas à éviter Éric», dit Steiner. «Mais cette année, je veux simplement participer à des manifestations que j'aime particulièrement et certaines courses en Allemagne, en Autriche ou en République tchèque en font précisément partie.» D'ailleurs par le passé, Steiner s'était déjà accordé une pause dans le Championnat suisse: à savoir en 2013. «À cette époque, j'ai conduit cinq courses en Championnat suisse – la course qui m'a valu un accident aux Rangiers y comprise.»
La date du début de la saison pour Steiner est encore incertaine. Le vice-champion de l'année dernière prévoit un premier test sur le circuit de la Bresse (F) pour le début du mois d'avril. Il ne peut dire pour l'instant si sa LobArt sera prête d'ici là. Parce que Steiner a de grands projets. Le quintuple champion suisse passe d'un moteur V8 Mugen de 3 litres à un moteur turbo Honda. Le moteur de la Civic Type R servira de base. Il est actuellement assemblé chez Helf-Tec Engineering à Hildisrieden (LU) et converti de 2000 cm3 à 1750 cm3.
«Nous pensons que c'est l'avenir», dit Steiner, en référence à Geoffrey Schatz. Il a remporté le Championnat de France en 2019 avec une Norman-Oreca-Turbo, battant tous les records. Steiner n'attend pas seulement plus de puissance du nouveau moteur, il prévoit aussi une réduction de poids d'environ 20 kilogrammes.
Steiner sait déjà que le nouveau groupe moteur est adapté. Sa LobArt a déjà été dotée de ce type de moteur. Le Bernois a par ailleurs récemment installé un modèle identique, «pour pouvoir me faire une idée de l'espace disponible», explique Steiner.
Si tout se déroule comme prévu et si ce pilote de 44 ans réussit à concilier toutes ses activités extérieures à la course, il participera à une douzaine de manifestations en 2020, dont les Hillclimb Masters à Braga (P) les 10 et 11 octobre. «Je me réjouis d'aborder cette saison. Le défi que représente le nouveau moteur est pour moi une incitation supplémentaire. Maintenant, j'espère simplement que tout sera prêt à temps.»
Vous intéressez-vous au sport et notamment au sport motorisé? Avez-vous «du flair pour la technique»? Souhaitez-vous collaborer activement avec des commissaires passionnés par la technique et leur donner votre soutien sur le plan administratif? Êtes-vous tenté d’exercer une activité intéressante au sein d’une jeune association qui a le vent en poupe?
Alors vous êtes exactement la personne que nous cherchons. Nous sommes à la recherche pour notre bureau à Liebefeld/BE pour tout de suite ou au plus tard au 1er mai 2020 d’un(e) technicien(ne) pour un emploi à 100%.
Si nous avons réussi à susciter votre intérêt, nous vous prions de bien vouloir nous envoyer votre dossier de candidature d’ici au vendredi 20 mars à:
Patrick Falk
Directeur Auto Sport Suisse
Könizstrasse 161
3097 Liebefeld
falk@motorsport.ch
Vous pouvez trouver l'annonce d'emploi complète ici!
Chères pilotes, chers pilotes,
Pour le moment nous sommes en train d’observer la situation actuelle concernant le développement du Coronavirus en Italie et sommes en contact avec les gérants de la piste ainsi qu’avec l’autorité nationale Italienne. Pour le moment nous supposons que l'événement aura lieu comme prévu le 04/05 avril 2020 à 7-Laghi.
Nous vous informerons dès que nous aurons plus d’informations à ce sujet.
Merci de votre attention.
Auto Sport Suisse
Deuxième victoire saisonnière pour Rebellion
Rebellion a remporté sa deuxième victoire saisonnière lors des 6 Heures d’Austin/Texas dans le cadre du championnat du monde d’endurance FIA. L’équipe d’Alexandre Pesci, qui quittera à la fin de cette saison le Championnat du monde des voitures de sport est restée haut la main en tête de la course du début à la fin sur le Circuit des Amériques. La deuxième place est allée à la Toyota avec le numéro 8 (Sébastien Buemi, Kazuki Nakajima et Brendon Hartley). Au classement général, la deuxième Toyota avec Conway/Kobayashi/Lopez reste en tête. Mais la différence n’est plus que de cinq points au lieu des huit points jusqu’à présent. L’équipe Cool-Racing a manqué de très peu le podium LMP2. En remportant la place 4, Antonin Borga, Alexandre Coigny et Nicolas Lapierre ont remporté jusqu’à présent leur meilleur résultat saisonnier.
Beche participera à l’ELMS
Mathias Beche va participer en 2020 à l’European Le Mans Series. Ce Romand court pour l’équipe polonaise Inter Europol aux côtés de Jakub Smiechowski. Beche a participé en dernier pour les Polonais à l’Asian Le Mans Series sur une Ligier JS P217 et y a terminé la saison au cinquième rang du classement général. «Je suis impatient de commencer la prochaine saison», annonce Beche. «Dans l’ELMS, les performances du groupe sont très proches.» Beche prendra également comme dans les années précédentes le départ aux 24h du Mans. Son meilleur résultat était jusqu’ici le troisième rang au classement général 2018 sur la Rebellion R13.
Légeret passe de LMP3 au GT3
Le pilote Lucas Légeret âgé de 18 ans seulement passe de la LMP3 au GT3. Ce pilote lausannois de grande taille s’est engagé auprès de l’équipe AKKA et y conduit une Mercedes AMG. Cinq courses pour le GT World Challenge Europe figurent au programme de Légeret. Son apogée de la saison seront les 24h de Spa-Francorchamps. Ce jeune Romand commencera sa saison les 12/13 mars avec les courses d’essai officielles au Castellet. La première course aura lieu les 9/10 mai à Silverstone.
Comme vous le savez certainement, le sport automobile est en constante évolution, ce qui nécessite également des changements dans les structures nationales en Suisse. La Commission Sportive Nationale (CSN) surveille constamment cette évolution et s'efforce d'adapter les courses automobiles de notre pays aux nouvelles structures de manière judicieuse.
Afin de pouvoir transmettre le plus rapidement possible les informations et explications pertinentes à tous les organisateurs, le CSN a décidé de tenir à nouveau la réunion traditionnelle des organisateurs sous forme de réunion d'information.
Nous avons le plaisir de vous informer que la prochaine réunion d'information pour la Suisse romande a été programmée comme suit :
MARDI 31 MARS 2020 À 19H15
Restoroute Motel de la Gruyère, Le Restoroute 174, 1644 Avry-devant-Pont
Les organisateurs ont reçu l’invitation pour cette réunion.
Vendredi 14 février passé, l’ancien champion européen de la montagne Jean-Claude Béring est mort à l’âge de 75 ans.
Béring avait commencé sa carrière sur une Mini Cooper. Plus tard, il avait participé aux courses de côte, slaloms et rallyes avec des voitures telles que Triumph, BMW, Lancia, Audi, Porsche et Renault. En 1975 et 1976, ce pilote de La-Chaux-de-Fonds a remporté le titre du Championnat européen de la montagne chez les véhicules GT sur une Porsche Carrera RS. Il l’avait acheté au célèbre chef d’orchestre autrichien Herbert von Karajan.
Sur le plan national aussi, Béring a été performant. En 1977, il a gagné le titre de champion suisse des véhicules de série des groupes 1, respectivement 3. Le Jurassien y conduisait une Triumph Dolomite. Béring a vécu le sommet de sa carrière en sport motorisé en 1975 avec sa participation aux 24 heures du Mans. Sur une Porsche Carrera RS du Club de Porsche romand, il y a remporté aux côtés des deux pilotes allemands Klaus Utz et Horst Godel la 19e place au classement général. Et cela en dépit de ses problèmes de santé. Les gaz d’échappement avaient tellement mis à mal le «Grand», comme l’appelaient ses amis, qu’il a dû se faire traiter par un médecin encore pendant la course.
Dans le secteur des rallyes, Béring a laissé également une forte impression. En 1983, il a décroché derrière Eric Ferreux avec même nombre de points que celui-ci le deuxième rang au classement général du Championnat suisse des rallyes sur une Renault 5 Turbo. Ses performances sur une Audi ayant appartenu à Michèle-Mouton sont également légendaires. Avec cette voiture, Béring a remporté entre autres le Critérium Neuchâtelois 1984 avec son homonyme Jean-Claude Schertenleib comme navigateur.
Après s’être retiré de la course automobile active, Jean-Claude Béring a continué à pratiquer la conduite automobile en professionnel en tant que chauffeur de bus des entreprises de transport neuchâteloises.
Auto Sport Suisse présente à sa famille, ses proches et ses amis ses sincères condoléances.
Après Karen Gaillard, Miklas Born (les deux en 24h Series), Mike Müller (VW Up Cup) et Jasin Ferati (Formule 4 italienne), Léna Bühler vient maintenant elle aussi de réussir le saut du karting au sport automobile.
L’année passée, Léna Bühler a performé de manière éclatante dans le X30 Challenge Switzerland. Cinq victoires de manches et un troisième rang au classement général avec un retard de neuf points seulement sur le champion Savio Moccia, telle est la carte de visite de cette pilote rapide de Valeyres-sous-Montagny près d’Yverdon. Cette année, elle ne sortira son kart plus qu’à des fins d’entraînement. En effet, la pilote suisse de karting la plus rapide de 2019 va passer cette année dans le sport automobile et plus exactement dans la Formule 4 espagnole.
Bühler a déjà effectué en décembre des courses de test en Formule 4 en Espagne. Entre autres également pour l’équipe d’Andreas Jenzer. En 2020, elle ne roulera toutefois pas pour cette équipe de Lyss, qui prendra le départ dans le Championnat italien, mais pour l’équipe Drivex de Madrid. Celle-ci n’est pas une inconnue dans la Formule 4 espagnole, bien au contraire: en 2019, elle a même remporté de manière souveraine le Championnat avec le pilote argentin Franco Colapinto. Une des raisons qui ont poussé Bühler à opter pour Drivex était la bonne impression que cette équipe donnait à Bühler dès le départ. «Je me suis d’emblée sentie parfaitement à l’aise dans cette équipe», constate Léna.
Ayant remporté le troisième meilleur chrono pendant les tests, à deux dixièmes de seconde seulement derrière la valeur de référence, Bühler a placé la barre haut. «J’espère être aussi performante lors des tests officiels en avril et pendant les courses», annonce cette pilote de 22 ans. «Mais pour l’instant, je suis déjà heureuse du résultat réalisé pendant les tests.»
Si tout se passe sans accroc, Bühler s’est déjà fixé un objectif ambitieux pour 2021. «Je veux passer aux W Series, le Championnat automobile de formule 3 réservé exclusivement aux femmes», révèle la pilote romande.
Pour Léna, la saison commencera les 25/26 avril au Castellet. Les six courses restantes auront lieu sur la péninsule ibérique.
Rebellion Racing annonce la fin des activités en sport automobile
13 ans de sport automobile suffisent. Du moins pour Rebellion Racing. Son chef Alexandre Pesci a mis fin aux activités en sport automobile moins de dix jours après l'annonce qu'une deuxième voiture serait engagée aux 24 heures du Mans. «Rebellion Racing va cesser toutes ses activités de course après une dernière participation aux 24 heures du Mans en juin», a déclaré un communiqué de presse. Rebellion a participé pour la première fois au Mans en 2008 (sous le nom de Speedy Racing). En 2014, l'équipe a fêté sa victoire de classe avec Mathias Beche, Nick Heidfeld et Nicolas Prost. En 2018, Rebellion a terminé à la troisième place du classement général derrière Toyota. La décision de la Rebellion de se retirer de la course a également un impact sur Peugeot. L'équipe suisse avait annoncé une coopération technique avec le constructeur automobile français en décembre 2019. Peugeot va maintenant probablement devoir gérer seul ce projet de Hypercar.
Buemi sauve l'honneur suisse
Lors de la quatrième manche de Formule E à Mexico-City, Sébastien Buemi a enfin décroché pour la Suisse la première place sur le podium. Buemi, qui était par moment en deuxième place et est retombé plus tard à la quatrième place, a bénéficié l’élimination de Sam Bird peu avant la fin. Le meilleur Suisse au classement général reste Edoardo Mortara, à la neuvième place. Selon ses propres déclarations, le Genevois n'avait aucune chance de gagner sur la piste raccourcie du GP, mais il a tout de même marqué quatre points à la huitième place. Nico Müller aurait quant à lui pu faire mieux. Le débutant en Formule E était dans le top cinq quand il a quitté la piste au premier virage. Le pilote de Porsche Neel Jani continue lui aussi à attendre impatiemment un succès. Le Zélandais a franchi la ligne d'arrivée en 14e position.
Une bonne sixième place pour Saucy
Grégoire Saucy a terminé la Toyota Racing Series en Nouvelle-Zélande à une bonne sixième place. Le Jurassien, qui participe en 2020 à la Formule Renault Eurocup pour ART, a longtemps été troisième au classement général de la série hivernale Downunder, mais n'a réussi à décrocher que la sixième place lors des deux derniers week-ends de course. Saucy peut toutefois être fier de sa performance. Deux places sur le podium et la deuxième place parmi les débutants, voilà une belle performance pour un pilote qui n'a eu «que» l'expérience de la Formule 4 jusqu'à présent. Le deuxième pilote suisse en lice, Axel Gnos, a terminé à la 18e place du classement final. Le titre est revenu au Brésilien Igor Fraga.
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Les pilotes de la Renault Classic Cup ont voté. En 2020, il y aura trois classes au sein de la Coupe au lieu de deux. Nous avons demandé au champion Philipp Krebs quelles répercussions cette décision aura.
Cette année, la Renault Classic Cup sera divisée en trois classes au lieu de deux jusqu'ici. Cette décision a été prise par les conducteurs actifs lors de l'assemblée générale. Elle nécessite encore l'approbation officielle d'Auto Sport Suisse. Mais lorsque ce changement de réglementation entrera en vigueur, les pilotes de Clio II auront du mal à s'adapter. Philipp Krebs serait également touché. Nous avons discuté de cette nouvelle situation avec le champion suisse en titre et vainqueur de la Coupe de la montagne.
ASS: Jusqu'à présent, la Renault Clio II et la RS III Cup ont été regroupées en un seul classement. Tel ne sera plus le cas en 2020. Pour pouvoir marquer des points complets, il faudra désormais avoir au moins quatre adversaires dans sa classe. En 2019, cela n'a pas toujours été le cas avec les Clios II. Crains-tu à présent de ne plus pouvoir, à l'avenir, rouler que pour la moitié des points et de n'avoir par conséquent plus aucune chance de défendre ton titre ?
Philipp Krebs: Oui, cela m’en a bien l’air. En fait, il y a suffisamment de Clios II. Mais il est rare qu'elles soient toutes sur place. Je pense donc que le prochain champion de la Renault Classic Cup sera un pilote avec une Clio III. Mais à ce stade, je tiens à souligner une fois de plus que je ne suis pas «avide de titres». Quand j'ai senti l'année dernière que je pouvais gagner la coupe de la montagne ainsi que la Renault Classic Cup, ça m'a certes démangé. Mais à part cette chance de remporter un double titre, chance qui ne sera reproduira probablement pas, gagner un championnat n'est pas si important à mes yeux.
Peux-tu comprendre l'avancée des pilotes de Clio III ?
En tant que personne extérieure, oui, absolument. Il est juste que chacun participe à la compétition dans sa propre classe. Après tout, les Clio RS IV Cup plus récentes avec leurs moteurs 1600 turbo ont déjà participé à des compétitions dans leur propre catégorie. J'aurais peut-être plaidé plutôt pour quatre voitures au lieu de cinq. Mais il faut composer avec le fait qu'il faudra désormais cinq participants par classe pour obtenir le nombre total de points.
Qu'est-ce que cela signifie concrètement pour toi ? Ta voiture de champion est à vendre - vas-tu passer aux Clios III pour avoir plus de chances de remporter le titre ?
Elle est à vendre, c'est vrai et si je peux en retirer un bon prix, je m'en séparerai. Il est possible que j'achète ensuite une Clio III. Si je ne vends pas ma voiture, je m’engagerai encore une autre saison avec la Clio II.
Quel sera l'impact de ces nouvelles règles sur les courses sur circuit de la Renault Classic Cup ?
Si les Clio II et III continuaient à rouler dans la même catégorie, elles recevraient normalement toujours des points complets. Mais maintenant, il doit y avoir au moins cinq participants dans les deux classes. S'il y en a moins, on n’attribuera que de demi-points. Comme les courses à l'étranger sont déjà associées à des coûts plus élevés, ce changement de règle pourrait bien exercer un impact négatif sur la décision de certains participants. D'autre part, il faut se rappeler que ceux qui effectuent des courses sur circuit ne se laissent généralement pas décourager. Nous verrons comment cela évoluera. Comme en 2019, je ne participerai de toute façon qu'à des slaloms et à des courses de côte, quelle que soit la voiture.
En 2020, Joël Grand (32 ans) veut participer à toutes les courses de côte avec sa nouvelle Osella PA21 JRB. Le Valaisan a eu l'occasion de se faire une première idée de son nouveau véhicule lors de la finale de la saison aux Paccots.
Joël Grand a enrichi le championnat suisse de montagne avec sa Formule Masters. L'homme de Chalais près de Sierre a utilisé trois modèles différents au cours des dernières années. Son plus grand triomphe a eu lieu en 2017, lorsqu'il a battu Romeo Nüssli aux Paccots par deux centièmes de seconde en additionnant les deux chronos, célébrant ainsi sa première et jusqu'ici unique victoire générale sur la montagne.
2020 marquera pour lui la fin des voitures de formule. Mais Grand avait en réalité déjà changé de voiture et de catégorie avant la fin de la saison dernière. Lors de la finale de la saison aux Paccots, le pilote de l'équipe Gruyère Racing a engagé sa nouvelle Osella PA21 JRB pour la première fois en E2-SC. «C'était une question d'argent et de travail», a déclaré Joël Grand en expliquant son passage de la Formule Masters à la voiture de sport. «J'ai adoré conduire les Masters, mais il était temps de commencer quelque chose de nouveau.»
La première course aux Paccots s'est terminée pour Grand à la huitième place du classement général, ce qui est une bonne performance, si l'on considère que c'était la première fois qu'il utilisait la voiture dans des conditions de compétition. «Nous avons changé quelques détails au cours du week-end», a déclaré Grand, «cela nous a permis de comprendre la voiture de mieux en mieux.»
Par rapport à l'Osella PA30 de Simon Hugentobler, troisième aux Paccots, Grand a eu un retard d'un peu plus de cinq secondes par course. Mais la comparaison est trompeuse. Dans la voiture du Valaisan, il y a un moteur de moto original de 1000cc de BMW. À l'arrière de l'Osella de Hugentobler, un moteur de 3 litres fournit en revanche une puissance nettement supérieure. «Mon objectif est d'avoir un jour moi aussi un moteur de 3 litres pour avoir une chance de gagner le championnat», déclare Grand. «Mais pour l'instant, je vais commencer modestement.»
Afin d'être bien préparé pour la saison de montagne, Grand, entraîné par Roland Bossy, prévoit de participer à un ou deux slaloms. L'ancien co-pilote de rallye a fait ses débuts dans cette discipline il y a des années. Mais il en a gardé des souvenirs plutôt mitigés. «Lors de mon premier slalom en 2008, je suis arrivé dernier», déclare Grand.
Joël se passe de courses préparatoires à l'étranger. Ce pilote qui travaille comme représentant dans un marché de boissons valaisan manque d'argent et de temps pour ce faire. «En outre, je veux me concentrer pleinement sur le championnat suisse.»
Grand présentera sa nouvelle voiture aux médias et à un groupe restreint d'invités lors d'une conférence de presse à la mi-mars. Auto Sport Suisse a déjà eu l'occasion de jeter un coup d'œil à l'Osella fraîchement peinte. Nous ne vous révélerons que cela: cette voiture de sport élégante a aussi fière allure!
Le samedi à Horgen (ZH), la première épreuve de qualification pour le deuxième Championnat suisse de Simracing a eu lieu. A cette occasion, le champion en titre Fredy Eugster a une fois de plus annoncé la couleur.
Avec 1:45,490 min, Fredy Eugster a été le Simracer le plus rapide lors de la première preuve de qualification en 2020 à Horgen (ZH). Dans sa Porsche virtuelle 911 GT3 Cup, ce Suisse oriental a devancé l’ancien champion de rallye junior Thomas Schmid de quatre dixièmes de seconde. C’est Nathanaël Mahler qui a décroché la 3e place avec un autre retard de quatre dixièmes de secondes. Ce trio s’est assuré de la sorte d’emblée une participation à la finale à Mollis (GL).
Goe Stettler, qui a mené la catégorie Ü40 nouvellement mise en place s’est classé bon quatrième. Stettler a failli même remporter la 3e place. Ce ne sont que 5 millièmes de secondes qui l’ont séparé de Mahler, troisième au classement. Stettler a été suivi par Julien Apotheloz sur une P5. S’il veut encore participer à la finale, l’ancien gagnant du Young Driver Challenge devra encore se qualifier lors d’une autre épreuve de qualification.
La pilote la plus rapide et aussi la seule femme dans le groupe des 44 participants a été Barbara Baeriswyl. Cette pilote de Suzuki-Cup s’est elle aussi qualifiée pour la finale dans le classement des dames. «Dommage qu’une seule femme ait participé à la première épreuve de qualification», constate l’organisateur Wani Finkbohner de la Racing Fuel Academy. Nous espérons que pour les prochaines manifestations, nous pourrons accueillir un plus grand nombre de femmes prêtes à prendre le volant.»
La deuxième épreuve de qualification aura lieu le 7 mars au centre Porsche de Genève. On n’y conduira plus à Imola, mais sur le circuit virtuel Red Bull Ring à Spielberg (A).
Pour de plus amples informations et l’inscription, prière de consulter le site Internet: www.racingfuel-academy.com/championship
Après examen des différentes offres des chronométreurs, il est maintenant certain que le chronométrage et le live timing des 6 courses de l’autobau CSK pour l'année 2020 seront garantis par le prestataire suivant :
Savoie Chrono Impact
3, chemin du Four
Brison les Oliviers
F-73100 Brison Saint Innocent
www.savoiechrono.com
Après la coopération fructueuse avec l'équipe de Savoie Chrono dans les années 2015 à 2018, nous sommes heureux de pouvoir mener la nouvelle saison du CSK 2020, à nouveau avec cette équipe bien rodée de la France.
Giorgio Maggi passe au sein de son équipe Hendriks Motorsport d'Euro-NASCAR 2 à Euro-NASCAR Pro.
Pour Giorgio Maggi, 2020 sera une année vraiment sérieuse. Le pilote de 22 ans, originaire de Hergiswil, est en train de monter en grade. Dans la série européenne de NASCAR, Maggi passe de la deuxième à la première ligue. Il reste fidèle à son équipe Hendriks Motorsport des Pays-Bas.
Maggi est impatient de relever ce nouveau défi. «En 2019, j'ai prouvé que je suis à la hauteur pour participer à cette série. Le fait que cette année, je puisse conduire dans la ligue européenne de haut niveau est pour moi à la fois une grande opportunité et un honneur.»
Maggi a mené la deuxième division l'année dernière jusqu'à la dernière course dans sa Ford Mustang. Dans un final serré, il a perdu le titre au profit du Danois Lasse Sörensen. Avec quatre pole positions, trois victoires et onze places dans le top cinq, ce pilote nidwaldien a toutefois marqué les esprits.
Il doit en grande partie à son équipe le fait d'avoir aussi de bonnes chances dans l'Euro-NASCAR Pro en 2020. Elle a remporté le titre en 2019 avec Loris Hezemans parmi les «Grands» et cette année encore, elle fait partie des équipes favorites avec Hezemans comme équipier de Maggi.
Parallèlement à son engagement auprès d'Euro-NASCAR, Maggi prévoit aussi de participer à une ou deux courses de 24 heures. La course à Zolder figure en tête de liste de cet ancien pilote du GT Masters. Il y a remporté la victoire en 2019 sur une Norma-Honda. Mais Maggi a encore d'autres projets. Les États-Unis, berceau de la série NASCAR, sont la grande destination de tous ceux qui ont succombé à l'attrait des voitures de tourisme V8 archaïques. Un Suisse participant à la NASCAR! C'est du jamais vu! Nous croisons donc les doigts pour lui!
Une deuxième voiture pour Le Mans
Rebellion engage une deuxième voiture pour les 6 heures de Spa et la course classique des 24h au Mans. À côté du trio habituel composé de Bruno Senna, Gustavo Menezes et Norman, le Genevois Louis Delétraz et les deux pilotes français Romain Dumas et Nathanaël Berthon se relayeront au volant d’un deuxième véhicule. Delétraz, dont l’objectif principal en 2020 consiste à remporter le titre en Formule 2, prendra la première fois le départ à la Sarthe. Dumas a déjà gagné cette course à deux reprises: en 2010 (sur Audi) et en 2016 (sur Porsche).
Rang 2 pour Saucy en Nouvelle-Zélande
Grégoire Saucy a défendu avec succès le week-end passé son troisième rang général dans la Toyota Racing Series en Nouvelle-Zélande. Le pilote jurassien a même remporté son résultat jusqu’ici le meilleur en remportant la deuxième place dans la troisième course. Avec six courses encore à venir, le retard de Saucy sur le leader Igor Fraga du Brésil n’est que de 48 points. Le deuxième au classement Liam Lawson n’a qu’une avance de 31 points sur Saucy. En revanche, le deuxième pilote suisse Axel Gnos n’a pas connu un week-end réjouissant. Cet Espagnol domicilié à Lausanne a subi deux accidents, dont l’un sans sa faute, et doit se contenter de la 15e place.
Première épreuve qualificative à Horgen
Simracer attention! Ce samedi de 10-17 heures, la première épreuve qualificative pour le Championnat suisse de Simracing aura lieu à Horgen (ZH). Sous l’égide de la FIA et d’Auto Sport Suisse, on cherchera un successeur à Fredy Eugster, champion Simracing de 2019. Il existera nouvellement aussi deux sous-catégories: cette année, il y aura pour la première fois aussi une catégorie «Dames» et une catégorie «Plus de 40 ans». Vous trouverez de plus amples informations sur les conditions de participation sur le site Internetwww.simracingseries.ch. Les frais d’inscription se montent à 50 francs.
Une erreur s’est malheureusement glissée dans le calendrier des TCR Hill Climb Series. La course de côte St Agatha (A) 2020 aura lieu le 26/27 septembre 2020 et n’est pas au 19/20 septembre. Nous nous excusons! Voici encore une fois le calendrier corrigé:
2./3. mai, Eschdorf (LUX)
30./31. mai, Verzegnis (I)
20./21. juin, Beaujolais (F)
25./26. juillet, Hauenstein (D)
15./16. août, Les Rangiers (CH)
26./27. septembre, St. Agatha (A)
La saison des courses de côte 2019 s'est heureusement déroulée sans aucun incident grave. Ce sont Ronnie Bratschi et Simon Wüthrich qui ont subi le plus de tôles froissées. Nous leur avons demandé où en est la remise en état de leurs véhicules.
Les accidents font partie de la course automobile. Tant qu'ils ne comportent pas de blessés et qu’on ne froisse que de la tôle, c’est un moindre mal. La saison passée, un seul pilote a été blessé: Louis Berguerand, le père du champion de la montagne Eric Berguerand. Lors de la course d'Anzère, il a subi une fracture ouverte du bras. Depuis, papa Berguerand va de nouveau beaucoup mieux. Eric, son fils préoccupé, annonce: «Dans deux ou trois mois, il retrouvera sans doute sa forme habituelle.»
Les Berguerands ne sauraient toutefois pour l'instant pas encore dire si cela suffira pour faire un retour en début de saison. Tel n'est pas le cas de Simon Wüthrich et de Ronnie Bratschi. Ces deux pilotes-là travaillent d'arrache-pied pour faire leur retour. Contrairement à Berguerand père, leurs accidents les ont laissés indemnes. Mais leurs deux voitures ont été gravement endommagées. La Turbiene Golf de Wüthrich a terminé sa course à Reitnau sur un rail de garde après une trace d'huile non signalée . Bratschi s'est renversé au Gurnigel avec sa Mitsubishi Evo VIII et a fini sa course dans la forêt. L'accident s'est produit sous la pluie – à une vitesse relativement faible. «A cet endroit, vous conduisez à faible vitesse», constate le pilote d'Uri. «Mais le bras oscillant transversal s'est cassé à l'arrière droite et j'ai soudainement perdu le contrôle de la roue.»
Depuis, Bratschi et Wüthrich ont investi de nombreuses heures dans la remise en état de leurs véhicules. Alors que Bratschi avait besoin d'un nouveau châssis, celui de Wüthrich était toujours intact. Mais une grande partie de la technologie a été endommagée. En particulier le radiateur et les suspensions. Wüthrich évalue les dégâts de sa Golf rouge à environ 25’000 francs – sans compter les travaux. La situation est similaire pour le véhicule de Bratschi.
Bratschi arrive même à tirer quelque chose de positif de cet accident. Alors qu’il a déjà beaucoup investi dans la sécurité de sa voiture ces dernières années, cet accident lui a permis d’améliorer encore la situation. «Le bras oscillant transversal était en fait bien dimensionné avec un diamètre de 35 millimètres, ce qui n’a pourtant pas permis d’éviter l'accident. Cela montre les forces à l'œuvre.»
Alors que Bratschi a pu réparer les dégâts sur sa voiture grâce à des sponsors et des partenaires, Wüthrich a lancé une campagne de financement par «crowdfunding» auprès du partenaire ASS «I believe in you». Il s’agissait de récolter 15’000 francs. Après seulement quatre jours, ce montant a été atteint. 45 personnes/entreprises ont soutenu l'action. «Je referais la même chose dans un cas similaire», dit Wüthrich, tout en espérant qu'il n'aura pas besoin de ce soutien à l'avenir. «Pendant dix ans, ma voiture n'a pas eu une seule bosse. J'espère que ce sera de nouveau le cas à l'avenir.»
On ne sait toujours pas où et quand Wüthrich et Bratschi seront de retour sur la grille de départ avec leurs voitures remises en état. Wüthrich a marqué en rouge sur son calendrier les jours de course à Frauenfeld. Bratschi peut quant à lui envisager d’entrer de nouveau en action à Hemberg, mais il laisse ouverte la question de savoir s'il participera auparavant encore à l'une ou l'autre course à l'étranger.
Mais d'ici là, tous deux auront encore du pain sur la planche. Ils en profiteront pour rendre aussi leur voiture encore plus rapide. «Au cours de la remise en état, on remarque des points que l'on peut encore améliorer sur la voiture», constate Wüthrich en souriant. «C'est pourquoi nous allons encore y ajouter quelques pièces en fibre de carbone.» Il est donc évident: le spectacle doit continuer! Les fans s'en réjouiront!
Les sept juniors du championnat suisse de la montagne sont désignés
Pour la quatrième fois, une évaluation des juniors a lieu dans le cadre du Championnat suisse de la montagne. Sept jeunes talents se sont qualifiés, à savoir: Massimo Conti de Cadenazzo/TI, Patrick Frei de Guntershausen bei Aadorf/TG, Jon Matthias Heuscher de Winterthur/ZH, Vanessa Knöpfli d’Adlikon bei Regensdorf/ZH, Samuli Nieminen de Binningen/BC, Luca Parisi de Zihlschlacht/TG et Riccardo Pfister de Balterswil/TG. Ces sept juniors vont s’engager aux quatre courses de côte sur des Toyota GT86 identiques: à Reitnau, Anzère, Oberhallau et aux Paccots. Les gagnants précédents étaient Rolf Reding (2017), Thomas Schmid (2018) et Rico Thomann (2019). Vous trouverez de plus amples informations sur le site Internet Swiss Race Acedmy.
Alex Fontana roulera en Asie en GT3
En 2019, Alex Fontana a décroché avec sa Mercedes GT4 le titre dans le championnat GT chinois . Ce Tessinois ambitieux compte bien défendre ce titre en 2020 et cela en GT3 et à nouveau sur une Mercedes. Mais Fontana ne va pas seulement participer au championnat chinois. Cet ancien pilote Jenzer prendra parallèlement aussi le départ au GT World Challenge Asia sur une AMG-Mercedes GT3.
Saucy pour la première fois sur le podium
Grégoire Saucy ne cesse d’améliorer ses performances dans la Toyota Racing Series nouvelle-zélandaise. Le week-end passé, ce pilote jurassien a remporté pour la première fois une deuxième place sur le podium. Après 6 courses sur 15, Saucy s’est adjugé en tant que meilleur débutant un troisième rang sensationnel avec seulement 35 points derrière le leader et héros local Liam Lawson. Le week-end prochain déjà, ce Romand âgé de 20 ans aura l’occasion de compléter son compte de points lors de la troisième course à Hampton Downs.
KartBox.ch propose un cours média sur la communication et le service de presse en karting le dimanche, 2 Février 2020, à 13h00.
L'inscription est possible via le lien suivant: KartBox
Après Vallelunga, c’est au Castellet dans le midi de la France que les deuxièmes FIA Motorsport Games se dérouleront du 23 au 25 octobre sur la piste de Formule 1.
En 2019, la FIA avait organisé en collaboration avec le SRO Motorsport Group de Stéphane Ratel les premiers Motorsport Games. Bien que cette manifestation n’ait pas attiré des personnalités connues du sport automobile, les organisateurs sont certains que ce type de concours est susceptible de plaire, raison pour laquelle ils ont décidé de proposer cette manifestation également en 2020.
On n’est pour l’instant pas encore très informé sur la deuxième édition des Motorsport Games. Mais on sait du moins déjà qu’elle se déroulera au Castellet (avec Marseille comme ville partenaire). La FIA l’organisera également à la même date que l’édition précédente. C’est à la fin octobre, lorsque la plupart des championnats auront pris fin, que les deuxième «Jeux olympiques» de la course automobile devraient avoir lieu.
La compétition internationale a eu lieu pour la première fois en 2019 au nord de Rome sur la piste de course de Vallelunga. Six disciplines figuraient au programme: GT Cup, Touring Car Cup, F4 Cup, Drift Cup, Karting Slalom Cup et Digital Cup. Au total, 192 pilotes en provenance de 49 nations y avaient participé. La Suisse y avait également envoyé une délégation dans quatre disciplines. La victoire générale à Vallelunga avec une médaille d’or et deux médailles de bronze avait été remportée par la Russie.
Vous trouverez de plus amples informations sur le site Internet de la FIA. Nous publierons au cours des prochains mois des informations plus détaillées sur les disciplines prévues.
Dans l’optique suisse, il n’y a pas eu de gros succès aux 24 heures de Daytona. Avec Simon Trummer et Rolf Ineichen, cependant, deux Suisses sont montés sur le podium.
Pour Simon Trummer, les choses se sont longtemps très bien passées dans la classe LMP2. Ce pilote de l’Oberland bernois et son équipe PR1/Mathiasen avaient mis le cap sur la victoire lorsque, peu avant midi le dimanche, l’équipe a été contrainte de marquer une pause pour faire réparer le véhicule, les deux barres stabilisatrices devant être remplacées. Cela a fait perdre à Trummer et son équipe deux tours, raison pour laquelle elle n’a remporté finalement «que» la deuxième place dans la classe LMP2 (derrière l’équipe victorieuse Dragon Speed), respectivement la 10ème place au classement général. Pour l’ancien pilote GP2 Trummer, c’était la première place sur le podium dans une course IMSA.
Rolf Ineichen est lui aussi monté sur le podium dans son deuxième engagement WRT. Dans un finish serré, le Lucernois a réussi avec ses collègues d’équipe Mirko Bortolotti (I), Daniel Morad (CDN) et Dries Vanthoor (B) à dépasser la Porsche de Wright Motorsports qui était dans le même tour, en dépit d’un problème à l’aile arrière. Cet exploit en série d’Ineichen est impressionnant. Après les victoires de classes remportées en 2018 et 2019 (avec la Grasser-Lamborghini), le gentleman-driver est monté sur le podium à Daytona pour la troisième fois consécutive.
La nouvelle Corvette CR.8 a marqué un bon début. Malheureusement Marcel Fässler se trouvait dans l’optique suisse dans la mauvaise Corvette. Pendant la nuit, la CR.8 grise avec le numéro de départ 4 a en effet été longtemps immobilisée au stand à cause d’une fuite d’huile. Fässler a malgré tout terminé la course, mais avec un retard de 325 tours. Mais ce pilote qui a gagné au Mans peut malgré tout se réjouir à l’avance d’autres engagements. La voiture identique a remporté en effet la 4èeme place en GTLM et a talonné jusqu’à la fin les top 3.
Rahel Frey est la seule à avoir fait exception. La Soleuroise qui a pris le départ dans une équipe entièrement féminine a dû voir le dimanche sa collègue d’équipe Christina Nielsen arrêter sa Lamborghini Huracan avec la partie arrière en feu.
La victoire a été remportée pour la troisième fois en quatre ans par Cadillac. L’équipe victorieuse a battu avec 833 tours (4772,48 km) un nouveau record de distance (jusqu’ici 808 tours).
Deux Suisses sur trois n’ont pas seulement atteint leur but dans la Principauté du Monaco lors du 88e Rallye Monte-Carlo, ils étaient même en tête de leur classe dans ce légendaire rallye.
Olivier Burri a participé pour la 22e fois au Rallye Monte-Carlo. Cela signifie que ce Jurassien bernois a participé très exactement à un quart de ces rallyes légendaires à la Côte d’Azur – ce qui frise un record. Et lors de l’édition de cette année, il a atteint son objectif ambitieux de devenir enfin le meilleur amateur. Celui qui a remporté à neuf reprises le Rallye du Valais et son copilote français Anders Levratti étaient dans leur classe le duo R5 le plus rapide et ont franchi le but en 18e position au classement général. Le retard sur le vainqueur belge Thierry Neuville n’a été que d’un peu plus de 27 minutes ce qui représente une performance très remarquable compte tenu de la vitesse vertigineuse atteinte par les leaders. Burri est passé pour le «Monte» à une VW Polo R5 préparée par Roger Tuning, un changement qui a porté ses fruits. «La Polo est vraiment la voiture idéale pour le Rallye Monte Carlo et ce résultat me ravit vraiment. Le Rallye Monte Carlo est le rallye le plus difficile de tout le calendrier des CM et il est appelé à le rester», constate Burri.
Mais Burri n’a pas été le seul à pouvoir se réjouir. Le pilote de Renault-Clio Ismaël Vuistiner et sa copilote Florine Kummer ont également eu de bonnes raisons de jubiler dans le port de Monaco. Le duo valaisan a occupé au décompte final la place 31 – et plus important encore: le rang 2 dans la classe RC3. Il ne manquait que de peu pour que les vainqueurs de la Renault Clio Alps Trophy 2019 montent sur le sommet du podium. Le binôme victorieux RC3, composé de Jérémy Caradec et de Cedric Amoros, n’avait à l’arrivée qu’une avance d’une demi-minute sur Vuistiner. «Je suis très satisfait du résultat que nous avons réalisé», constate Vuistiner. «Monter sur le podium à côté de tous ces superstars est une expérience sensationnelle.» Pour Vuistiner, il s’agissait de la deuxième participation au «Monte». En 2018, ce pilote de Vercorin a toutefois été obligé de terminer prématurément le rallye après une sortie de piste.
Sacha Althaus n’a pas eu de chance lors de sa première. Le Vice-champion junior de Moutier a dû abandonner durant la spéciale 15 à cause d’une défectuosité mécanique sur sa Peugeot 208 R2. Lui et sa copilote Lisiane Zbinden se situaient à ce moment-là au cinquième rang de la classe RC4.
Quatre Suisses prendront le départ aux 24 Heures de Daytona. Ont avant tout des chances de remporter la victoire de classe Marcel Fässler (Corvette) et Rolf Ineichen (Audi).
Ce week-end, deux grands classiques de la course automobile figurent au programme: le Rallye Monte Carlo et les 24 Heures de Daytona. Nous avons déjà commenté la 88e édition du rallye sans doute le plus célèbre et allons donc évoquer ici avant tout la traditionnelle course d’endurance en Floride.
Les Suisses n’auront pas voix au chapitre en matière de victoire générale car aucun Helvète ne sera au volant des huit prototypes qui prendront le départ dans la classe de pointe. Simon Trummer qui y avait encore participé l’année précédente pour Cadillac est passé dans la catégorie LMP2. Le pilote de l’Oberland bernois y roulera pour l’équipe PR1/Mathiasen Motorsport. L’enjeu consistera à battre quatre autres voitures LMP2.
Le vainqueur au Mans Marcel Fässler prendra le départ dans la classe GT-LM. Ce pilote de Schwyz continuera à miser sur Corvette Racing, mais cette année, il fera confiance au nouveau modèle, la C8.R. Les chances de Fässler de remporter une victoire de classe ne sont pas mauvaises. Lors des tests préalables, Tommy Milner, le collègue d’équipe de Fässler, a réalisé le troisième meilleur temps.
Le plus grand groupe est composé des véhicules GT-D. Deux pilotes suisses y prendront le départ: Rolf Ineichen, qui roule nouvellement pour l’équipe belge WRT, et Rahel Frey qui se partagera avec trois autres femmes une Lamborghini Huracan de l’équipe Grasser.
La course commencera à 13.35 heures, heures locales.
Le Comité Karting d’Auto Sport Suisse a discuté lors de sa séance du mardi, 21.01.2020 de l’attribution des pneus pour l'année 2020 et élaboré une proposition (voir la liste ci-joint) à l’attention de la Commission Sportive Nationale (CSN).
Georges Darbellay, Champion suisse des rallyes de 1996, est décédé le 20 janvier après une longue maladie à l’hôpital de Martigny (VS) à l’âge de 65 ans.
Darbellay a gagné ses galons dans la Daihatsu Cup à la fin des années 80 et a ensuite conduit Opel pendant des années. Sur une Kadett GSI 16V il a d’abord il a pris la troisième place du championnat suisse en 1991 (sans podium). Plus tard, il a conduit une Astra GSi 16V avec qui il a célébré ses plus grands succès. En 1995, il a terminé deuxième du Rallye 111 Minuti en Italie avec sa copilote Vanessa Roduit. En 1996, il a remporté le Critérium Jurassien avec Roduit, après avoir déjà terminé deuxième à la Ronde d'Ajoie. Plus tard dans la saison, il a même obtenu le titre de champion suisse des rallyes grâce aux compétences de navigation de Sandra Arlettaz.
En dernier, Darbellay (avec sa copilote Sarah Buchard) a conduit une Peugeot 207 en 2015. Le pilote valaisan a participé au total à environ 80 rallyes.
Darbellay, dont le surnom était Zozo, laisse derrière lui sa femme Véronique ainsi que quatre enfants et un petit-enfant. Auto Sport Suisse présente ses sincères condoléances à sa famille, ses proches et ses amis.
La cérémonie funéraire aura lieu le jeudi 23 janvier à 14h30 à l'église de Liddes (VS).
Jasin Ferati et Miklas Born ne sont pas les seuls à passer à la course automobile cette année. Le champion du KZ2, Mike Müller, ose lui aussi franchir ce pas et participera à la nouvelle VW Touring Car Junior Cup en 2020.
2019 a été un millésime exceptionnel et apparemment aussi un bon cru chez les pilotes de kart suisses. Après Miklas Born et Jasin Ferati (et peut-être aussi Léna Bühler), Mike Müller vient en effet de faire le grand saut dans le sport automobile. Le champion KZ2 de la saison passée participera à la nouvelle VW Touring Car Junior Cup en Allemagne en 2020.
Huit courses sont prévues pour la première saison dont six se tiendront en Allemagne (2x Oschersleben, 2x Lausitzring, Nürburgring et Hockenheim), deux en République tchèque voisine (Most) et aux Pays-Bas (Zandvoort). La conduite se fera avec un véhicule Cup basé sur la VW up ! GTI, d'une puissance d'environ 140 ch et d'un prix inférieur à 25 000 euros.
Müller pilotera pour l'équipe de Fabian Danz, dont le père, Robert, dirige l'équipe de course. «Je me réjouis de relever ce nouveau défi», déclare Müller. «Mon but est d'acquérir le plus d'expérience possible. Mais je veux naturellement aussi atteindre les meilleurs classements.» Müller bénéficie du grand avantage suivant: comme la série est partie de zéro, aucune équipe et aucun pilote n’a une avance en termes de connaissances.
La saison commencera du 19 au 21 juin à Most. Au moins deux journées d'essai officielles sont prévues avant cette date. «Nous devrions avoir la voiture en mars», se réjouit Müller, 17 ans. «Nous espérons ensuite pouvoir rapidement passer sur la piste d'essai.»
Outre la coupe de marque VW, Müller participera également à une ou deux courses de kart en 2020. Tout en haut de la liste figure la course ADAC à Wackersdorf les 25/26 avril. Müller annonce qu'il a encore un compte à régler à cet endroit et qu'il veut impérativement gagner cette course.
Après trois années couronnées de succès, «AutoScout24 et CUPRA Young Driver Challenge» se retirent pour l’année 2020 des pistes de course.
Pierre-Alain Regali, directeur d’AutoScout24, constate ce qui suit: «Nous sommes fiers d’avoir recruté dans le cadre du Challenge de jeunes talents motivés et performants.» «C’est pourquoi nous sommes très heureux de pouvoir continuer à soutenir les vainqueurs Karen Gaillard et Julien Apothéloz également cette année.»
Nicolas Hobi, Head of Marketing de Seat et Cupra, remarque quant à lui: «Nous sommes heureux d’avoir permis avec notre projet à trois talents de course automobile très motivés à franchir une première étape pour effectuer une carrière de pilote de course. Avec Topcar Sport, où Julien Apothéloz et Karen Gaillard, deux gagnants du Young Driver Challenge sont sous contrat, Cupra restera également cette année fidèle à la course automobile.»
Le projet «AutoScout24 et Cupra Young Driver Challenge» a été créé pour la première fois en 2017 par AutoScout24, SEAT et Fredy Barth. Ce programme de promotion de la relève des pilotes de course a été soutenu depuis cette année par la filiale de SEAT, la nouvelle marque Cupra. Dans une série de compétitions en quatre parties, les jeunes âgés entre 16 et 21 ans avaient l’opportunité d’apporter la preuve de leur talent de pilotes de course automobile. Ceux et celles qui réussissaient à convaincre le jury pendant toutes les phases et faisaient preuve non seulement d’aptitudes de conduite, mais aussi d’une passion et d’une volonté inconditionnelles de se consacrer à la course automobile, avaient la possibilité de remporter comme prix principal le soutien financier et les conseils d’AutoScout24 et de Cupra pour continuer à s’engager dans la course automobile. Parmi les gagnants du YDC se trouvaient: Oliver Holdener (2017), Julien Apothéloz (2018) et Karen Gaillard (2019).
Chef de Rébellion, troisième meilleur débutant lors du Rallye Dakar
Le Rallye Dakar est considéré comme le rallye le plus difficile du monde. Sur son nouveau site en Arabie Saoudite aussi, ce rallye a été à la hauteur de cette réputation. Deux Suisses ont participé cette année à l'aventure: le chef de Rébellion Alexandre Pesci (avec son copilote Stephan Kühni) ainsi que le Genevois Rémy Vauthier, qui a terminé 19e l'année dernière. Cette année, Vauthier a eu moins de chance. Sa course dans le désert s'est terminée après la première étape déjà suite à une fuite de carburant. Pesci l’a en revanche achevée et a terminé son premier Dakar en tant que troisième meilleur débutant à la 41e place. Après 2010 et 2018, la victoire a été remportée par Carlos Sainz (Mini x-Raid) pour la troisième fois.
Les Suisses n'ont pas remporté de points au Chili
La fraction suisse est repartie les mains vides lors de la troisième manche de la Formule E au Chili. Bien que Sébastien Buemi ait terminé septième et remporté donc des points, il a écopé après coup d'une pénalité de 30 secondes parce que sa voiture avait régénéré trop d'énergie. Edoardo Mortara a également été performant pendant longtemps, mais il a ensuite pris du retard et a dû abandonner la course dans les stands en raison d'un problème de pneu. Quant à Neel Jani, il a connu pire encore. Le pilote d'usine Porsche a été impliqué dans une collision au premier tour sans qu'il y ait eu faute de sa part. Au final, le meilleur pilote suisse, Nico Müller, a remporté une onzième place peu brillante. La victoire au Chili est revenue à Maxi Günther (BMW). La prochaine course aura lieu le 15 février à Mexico-City.
Saucy est le meilleur débutant en Nouvelle-Zélande
Pour Grégoire Saucy, le premier week-end des Toyota Racing Series en Nouvelle-Zélande s'est achevé par trois classements dans le top 5. Le Jurassien se situe donc à la quatrième place intermédiaire après le premier des cinq week-ends, ce qui fait de lui le meilleur débutant. Pour Axel Gnos, le deuxième Suisse du groupe, les choses ne se sont en revanche pas encore passées aussi bien. Le plus jeune coureur du groupe âgé de 16 ans a occupé les positions 16, 15 et 11.
Jusqu’à présent ne pouvaient participer au Championnat suisse de la Montagne juniors que ceux qui n’avaient jamais possédé une licence nationale d’Auto Sport Suisse. Pour la quatrième édition, les organisateurs autour d’Yves Meyer du Drivingcenter Event Seelisberg ont maintenant reçu une autorisation exceptionnelle. Jusqu’au 25 janvier, les finalistes ou titulaires d’une licence NAT qui couraient jusqu’ici dans d’autres catégories sont également en droit de s’inscrire à condition d’être âgés au maximum de 28 ans.
Ceux qui souhaitent donc encore s’inscrire peuvent le faire sous le lien suivant: https://www.drivingevent.ch/race-academy-schweizer-bergmeisterschaft-junior/
Dans le Championnat suisse de la Montagne juniors, les pilotes s’engagent avec une Toyota GT86 identique (env. 200 CV) selon le règlement de Supersérie. Quatre courses figurent au programme: Reitnau, Anzère, Oberhallau et Les Paccots. La participation à l’observation coûtera 185 francs (repas de midi y compris). Pour la saison complète (location du véhicule y comprise), 8865 francs seront facturés. Les précédents champions sont les suivants: Rolf Reding (2017), Thomas Schmid (2018) et Rico Thomann (2019).
Du 23 au 26 janvier, Olivier Burri participera au Rallye de Monte-Carlo pour la 22ème fois! Le Jurassien bernois n'a pas prévu d'autres engagements pour le moment, notamment pas en Suisse.
Olivier Burri, Sacha Althaus et Ismaël Vuistiner représenteront les couleurs de la Suisse au Rallye Monte Carlo. Alors que ce sera la 22e participation de Burri, le vice-champion junior Althaus participera à la cette course classique pour la première fois, Vuistiner pour la deuxième fois après 2018. Auto Sport Suisse a parlé à Burri de la préparation et de ses objectifs au «Monte».
Tu es sur le point de prendre ton 22e départ au Rallye de Monte-Carlo. Qu'est-ce qui rend ce rallye si spécial pour que tu y participes encore et toujours?
Olivier Burri: Tout est spécial au Rallye de Monte-Carlo. Ce rallye est très complexe. Tout le déroulement vous garde sur le qui-vive. Et on y rencontre constamment des situations qui vous confrontent à un nouveau défi. Bref, on ne s'ennuie jamais au «Monte».
Te prépares-tu pour cette raison différemment pour ce rallye?
En décembre, j'ai déjà fait un rallye en France sur neige. Donc physiquement, je suis déjà bien préparé. Mais je me suis entraîné de façon très intensive pendant dix jours. Surtout avec le vélo. J'ai couvert facilement 1000 à 1300 mètres de dénivelé. J'ai aussi fait de l'entraînement de course. Et j'ai perdu quatre kilos depuis Noël. Il y a quelques jours, j’ai mis la pédale douce, de sorte que je me sens vraiment prête maintenant.
Au Rallye Hivernal du Dévoluy dont tu as parlé, tu as piloté la VW Polo R5 pour la première fois et tu es devenu deuxième. Comment était-ce?
Ça s'est très bien passé. Nous avons trouvé une bonne base et avons procédé à un réglage dont je suis très satisfait.
En quoi la Polo diffère-t-elle de la Skoda Fabia R5 que tu as conduite pour la dernière fois au Rallye du Valais?
La plus grande différence se situe au niveau du châssis. La Polo a des avantages évidents par rapport à la Skoda. Le moteur et la boîte de vitesses sont très similaires.
Quel est ton objectif pour la 88ème édition du «Monte»?
Je voudrais gagner la classe amateur. Bien que le terme amateur doive être utilisé en l’occurrence avec prudence. En 2019, j'ai été battu par Stéphane Sarrazin, un ancien pilote de F1 et de WRC. En 2018, Kalle Rovenperä a été plus rapide. Il est également un excellent pilote de rallye. Et en 2017, c'est Jan Kopecky qui m'a fait de l'ombre. Et cette année, Oliver Solberg avec qui je devrais probablement me mesurer.
Tu as mis un point final après ta neuvième victoire au Rallye du Valais. Du moins pour le «Valais». Est-ce qu'en revanche, on aura le plaisir de te voir participer cette année au Critérium Jura ou au Rallye du Chablais?
Pour l'instant, je n'ai pas encore fait de projets. Mais je ne pense pas que je vais y participer.
Le champion de karting électrique roule en Formule 4
La Suisse possède de nouveau un nouveau pilote de Formule. Jasin Ferati de Winterthur passe du karting à la Formule 4. Il y disputera pour Jenzer Motorsport le Championnat italien. Ferati qui est devenu l’année passée champion de karting électrique est considéré comme un talent très prometteur. En décembre, ce pilote âgé de 16 ans a déjà effectué des tests pour Jenzer à Imola, Misano et Barcelone et y a laissé une forte impression. Pour Ferati, le championnat commencera en Italie les 16 et 17 mai à Monza.
Deux Suisses en Nouvelle-Zélande
La Toyota Racing Series a chaque année lieu en Nouvelle-Zélande; il s’agit d’une série de Formule junior avec des voitures identiques. Pour la première fois depuis 2014 (Levin Amweg), deux Suisses, à savoir Axel Gnos (16) et Grégoire Saucy (20) y prendront de nouveau le départ. Les deux Romands ont roulé en 2019 en Formule 4. Gnos en Espagne (deux podiums, trois tours les plus rapides), Saucy en Allemagne (également deux podiums). La première course aura lieu ce weekend au Highlands Motorsport Park à Cromwell.
Trummer recule d'un pas
Simon Trummer a trouvé aux Etats-Unis une seconde patrie. Ce pilote de l’Oberland bernois apprécie «l’American way of life». Depuis deux ans, cet ancien pilote de GP2 court pour l’IMSA. Malheureusement, la saison passée s’est avérée si décevante qu’il passe cette année de la classe des prototypes de pointe LMP1 à la LMP2. Trummer mise pour cela sur l’équipe PR1 Mathiasen Motorsport. Parallèlement, ce pilote de 30 ans participera à l’European Le Mans Series (ELMS) avec Pro Algarve. Il faut encore y ajouter ses engagements pour le VLN dans l’équipe Octane126 de Wallisellen dans le canton de Zurich.
Les 24h de Dubaï se sont finalement résumées à une course de sept heures seulement. De fortes pluies ont en effet contraint les organisateurs à l’interrompre. Cinq Suisses ont malgré tout réussi à monter sur le podium.
Les 24 heures de Dubaï, qui représentent en quelque sorte le coup d’envoi de la saison des courses sur circuit, sont tombées littéralement dans l’eau. Elles n’ont finalement duré que sept heures lorsque la direction de la course a été contrainte de prendre la décision d’interrompre la course en raison de fortes pluies et d’inondations.
Au moment de l’interruption, l’équipe Black Falcon (Mercedes-AMG GT3) avec le Suisse d’adoption Manuel Metzger au volant menait la course. La place 2 a été remportée par l’équipe MS7 by WRT (Audi R8) suivie au rang 3 par une autre Mercedes (SPS Automotive Performance). Les meilleurs Suisses ont décroché la place 5: Rolf et Mark Ineichen ont mené la course pendant un court moment et avaient un retard d’un tour lorsque la course a été interrompue. Directement derrière eux, il y avait la Lamborghini de Barwell Motorsport avec le pilote lucernois Adrian Amstutz. Son équipe était en tête pendant près de 60 tours et, dans des conditions normales, elle aurait certainement eu de bonnes chances de remporter la victoire.
Mais cette interruption n’est pas intervenue au moment le plus défavorable pour tous les Suisses. En GT3-AM, les Suisses Ivan Jacoma, Maurizio Calamia et Stefano Monaco avec l’Italo-Suisse Roberto Pampanini et le Danois Mikkel Overgaard Pedersen ont remporté la position 3.
Dans le groupe des voitures de tourisme, les Suisses ont également eu de quoi jubiler. La VW Golf GTI TCR d’Autorama Motorsport avec le vainqueur de l’année précédente Yannick Mettler et la jeune recrue Miklas Born a également remporté le troisième rang. La deuxième Golf de l’équipe de Wetzikon se situait à la place 7 lorsque la course a été interrompue, une position derrière la Cupra de Topcar Sport avec Fabian Danz et Ronny Jost.
Dans la classe GT4, où des Suisses étaient également présents avec Rahel Frey et les frères Kroll, on a fait chou blanc. Frey était avec son Audi R8 à la place 8, lorsque la course a été interrompue; Michael et Martin Kroll sur BMW de Hofor Racing étaient en 10e place.
En revanche, Julien Apothéloz n’a pas participé à cette course. Pour des raisons budgétaires, le jeune pilote zurichois, qui avait remporté l’année précédente la deuxième place parmi les voitures de tourisme, a dû renoncer à prendre le départ dans le désert.
Le sport automobile suisse est une fois de plus endeuillé. Une semaine seulement après Jean-Jacques Baume, Philippe Ecabert, un autre fonctionnaire suisse très engagé est décédé à l'âge de 61 ans.
Ecabert était commissaire technique depuis 2003 et participait chaque année à entre six à dix courses, souvent aussi en tant que responsable de la CT.
Ses compétences de mécanicien de précision ont toujours été très utiles aux commissaires techniques d'Auto Sport Suisse. «Philippe a développé lui-même de nombreux instruments de mesure ou les a réparés s'ils étaient défectueux», explique Heinz Waeny, président de longue date de la CT, membre du comité technique d'Auto Sport Suisse et compagnon d'Ecabert. «Nous avons toujours apprécié son travail consciencieux et son grand engagement. Il nous manquera beaucoup, notamment à la communauté francophone du sport automobile.»
Ecabert, qui s'est également fait un nom en tant que restaurateur de voitures historiques, était originaire de Neuchâtel. Lui-même n'a pas participé à des courses automobiles, mais en tant que mécanicien passionné, il a soutenu de nombreux pilotes, dont son fils Ludovic dans ses engagements dans le championnat suisse des slaloms.
Ecabert, domicilié à Grône, a dirigé jusqu'à la fin le garage Sud à Granges (VS) spécialisé dans la marque Citroën. Il laisse derrière lui deux enfants, sa « fille de cœur « et cinq petits-enfants. Auto Sport Suisse présente ses sincères condoléances à sa famille, ses proches et ses amis.
La cérémonie funèbre a eu lieu dans le cercle familial le plus proche.
Peu avant la fin de l'année, le 28 décembre, Jean-Jacques Baume, l'un des chefs instructeurs les plus expérimentés de l'ACS, est décédé à l'âge de 79 ans après une longue maladie.
Baume était diplômé en génie mécanique et a suivi une formation complémentaire en sciences de gestion et en cybernétique aux États-Unis. De retour à Bâle, sa ville natale, il a travaillé avec succès en tant que conseiller en gestion indépendant dans le domaine de l'ingénierie financière. Ses passe-temps étaient entre autres le ski et la course automobile.
En tant que pilote de course, Baume a rejoint l'Ecurie Basilisk en 1985. Il a acquis ses premières expériences en slalom. Il a célébré ses plus grands succès en 1994 en remportant le championnat de club sur une Honda Civic et la troisième place des voitures de série dans le championnat suisse derrière le champion Daniel Hadorn et le vice-champion René Lüthi. Sur le tard, lorsque ses occupations professionnelles ont quelque peu diminué, il a également participé activement à des courses d'endurance.
En tant qu'instructeur en chef et membre du Comité de formation, Baume était très estimé de tous. Des messages clairs, formulés dans un ton poli, mais aussi ferme, ont toujours été sa marque de fabrique. «À l'occasion des nombreux cours que nous avons suivis ensemble et de nos rencontres, j'ai toujours été fasciné par la passion que Jean-Jacques vouait à la course automobile», se souvient son compagnon de longue date, Andreas Michel, président de la CSN. «Sa famille partageait cette passion pour la course et il s'y est consacré encore à fond comme instructeur dans ses dernières années, même si sa santé était déjà fragile.»
Baume laisse derrière lui deux filles et trois petits-enfants. Auto Sport Schweiz présente à sa famille, ses proches et ses amis ses sincères condoléances.
Comme chaque année, l’Agence mondiale antidopage (WADA) publie la nouvelle liste des interdictions qui entre généralement en vigueur au 1er janvier. Vous trouverez le lien correspondant chez nous.
Fort heureusement, le dopage dans le sport motorisé n’est que très rarement un thème d’actualité. Les cas qui font la une des journaux concernent en règle générale d’autres disciplines sportives. En dépit de cette constatation, chaque pilote de course devrait se tenir sur ses gardes. Bien des athlètes ont en effet déjà trébuché sur des substances qu’ils considéraient comme «anodines». C’est pourquoi il vaut toujours la peine de jeter un coup d’oeil sur la liste mise à jour.
Pour la liste des interdictions 2020, la WADA a procédé en majorité à des adaptations formelles et les a complétées par des exemples de substances interdites ou leurs synonymes. Toutes ces substances étaient déjà interdites auparavant en raison de leur «structure chimique similaire», respectivement «leur effet biologique similaire». En pratique, cela signifie que les adaptations n’ont pas de répercussions sur le statut de dopage des médicaments en vente en Suisse. Mais les médicaments nouvellement prescrits, respectivement recommandés, doivent continuer à faire impérativement l’objet d’un contrôle avant leur utilisation sur la base de données sur les médicaments Global DRO publiée sur le site www.antidoping.ch ou via l’appli mobile.
Sur ce site, vous trouverez la liste des interdictions 2020: www.antidoping.ch/fr/lois-et-reglements/droit-prive/liste-des-interdictions
D’ailleurs: les contrôles antidopage effectués en 2019 à l’occasion du Championnat suisse de la montagne à Massongex et aux Rangiers ont tous été négatifs.
Les pilotes contrôlés (Eric Berguerand, Ronnie Bratschi, Thomas Kessler, Roger Schnellmann et Marcel Steiner) ont tous été «propres».
Le grand moment est une fois de plus venu: les 24 heures de Dubaï du 9 au 11 janvier annoncent le début de la saison 2020 des courses sur circuit international. Plusieurs Suisses vont également y prendre le départ.
On est particulièrement impatient de voir la performance de Rolf Ineichen. Après quatre années passées sur Lamborghini dans l'équipe autrichienne de Gottfried Grasser, ce gentleman driver à succès est passé au sein de l'équipe belge WRT. Le Lucernois et son frère Mark y prendront place dans une Audi R8 LMS avec le numéro de départ 31. Ses autres coéquipiers à Dubaï seront le champion ADAC GT Masters Kelvin van der Linde (ZA) et Mirko Bortolotti (I). Il s'agit donc d'un quatuor performant qui, si la technologie tient la route, a de réelles chances de remporter la victoire finale.
Également présent dans la GT3-Pro: Adrian Amstutz. Le pilote Lamborghini roulera pour l'équipe britannique Barwell Motorsport aux côtés de Patrick Kujala (FIN), Jordan Witt (GB) et Dennis Lind (DK). En 2014, Amstutz et les frères Ineichen avaient remporté la course à Dubaï au volant d'une Porsche 997 GT3 R.
La classe GT3-AM comptera pas moins de trois pilotes suisses dans une même équipe. L'équipe Dinamic Motorsport composée d’Ivan Jacoma, de Mauro Calamia et de Stefano Monaco y prendra le départ.
Les pilotes suisses sont également représentés dans le GT4. Les espoirs reposent principalement sur l'équipe Hofor Racing avec les frères Martin et Michael Kroll. Mais ce n'est pas seulement l'équipe BMW d'Eggenwil, dans le canton d'Argovie, qui espère remporter une place sur le podium. La pilote Audi Rahel Frey (dans l’équipe Heide Motorsport) ambitionne elle aussi de briller à Dubaï.
Mais il y a aussi de bonnes chances que la Suisse s'impose au TCR. En tant que détentrice du titre, l’équipe Autorama Motorsport by Wolf-Power Racing de Stefan Tanner compte bien défendre la victoire de l'an dernier avec ses deux Volkswagen GTI TCR portant les numéros de départ 112 et 114. Neuf pilotes se partageront les deux voitures, dont le vétéran Yannick Mettler. Mais le Lucernois ne sera pas le seul Suisse de la troupe de Wetzikon à prendre le volant. Miklas Born, un jeune pilote prometteur du monde du karting, y fera lui aussi ses débuts en course. Le seul jeune Bâlois qui n'a que 17 ans a attiré l'attention chez Trackdays et espère prendre pied dans la course automobile internationale.
L'un des grands adversaires d'Autorama sera l’équipe Topcar avec sa Cupra TCR. Fabian Danz, vainqueur de l’an dernier, et Julien Apothéloz s’y relaieront sur la Cupra TCR.
Le début des 24h de Dubaï de cette année aura lieu le vendredi à 15h. La course pourra être suivie dans son intégralité en livestream sur Facebook. Consultez le site www.24hseries.com
Partie 8 de notre série «Portrait des champions suisses»:
Cédric Betschen a remporté la Coupe Suisse des Rallyes 2019 avec son épouse et copilote Mirjam lors de sa première saison complète. Il s'agit là d'un succès qu'il n'aurait jamais osé imaginer il y a dix ans.
Quand Cédric Betschen (31 ans) évoque ses débuts en sport automobile, cela le fait rire. Ce sont sans doute sa passion ainsi que son art de l'improvisation qui lui ont finalement permis de s’en tirer aussi bien. Le Lausannois d'origine était en effet aussi éloigné d'une attitude professionnelle que Greta Thunberg de l'achat d'un jet privé. «Lors de mon premier slalom à Carouge en 2007, j'ai pris le départ dans la voiture avec laquelle je me rendais aussi au travail», raconte Betschen. «J'avais mon casque de cyclomoteur avec moi. Je n'avais pas la moindre idée des exigences de ce sport. Je n'avais jamais été sur un circuit avant, pas même en tant que spectateur.»
Betschen s'est depuis toujours passionné pour le rallye. Très jeunes, lui et son frère ainé ont été trainés par leur père à des rallyes. Au début, le petit Cédric n'était pas particulièrement emballé. Il s'ennuyait ferme pendant les pauses d'attente, «surtout quand il faisait froid». Néanmoins, son père lui a transmis le virus. «Je me suis juré qu'un jour, je participerais moi aussi à des rallyes», dit Betschen, qui s'est recyclé il y a des années de menuisier en conducteur de locomotive aux CFF.
Après ses premières expériences en slalom et en course de côte en 2008, le grand temps était enfin venu en 2009: Betschen a disputé son premier rallye. Il ne faut d’ailleurs pas s’étonner que son choix se soit porté sur le «Chablais». Betschen a vécu pendant un certain temps le long d’une étape spéciale au-dessus des Diablerets. Il connaissait le terrain. Et pourtant, tout était nouveau pour lui. Betschen se rappelle: «J'ai lu tous les règlements pendant l'hiver, pour connaître au moins la théorie.» Mais la conduite pratique était une autre paire de manches. Avec des pneus usés et le cousin sur le siège du copilote, le rallye s'est finalement terminé dans un fossé. «Après cet accident, il nous a fallu un an pour remettre la voiture en état.»
En 2010, Betschen a fait son retour au Rallye du Chablais. Cette fois avec son père comme copilote et avec un frein fictif dans l’esprit. «Je savais qu’il fallait éviter à tout prix de finir encore une fois dans les décors. Je ne pouvais pas me permettre de causer d'autres dégâts. J'ai donc fait preuve d'un plus grand calme.»
Chaque rallye a permis à Betschen d’en apprendre davantage. Il s'est accroché à de petits succès. Au début de la saison 2014, il a de nouveau changé de copilote: sa femme Mirjam a dès lors pris la place à ses côtés. A partir de ce moment-là, sa carrière a décollé. «Au Rallye du Chablais 2015, nous avons eu des pneus neufs pour la première fois», sourit Betschen. «Cela a fait une énorme différence. Au début, j’avais l’impression que la voiture ne bougeait pas sur ses nouvelles semelles. Mais ensuite, j'ai compris que je devais conduire différemment parce que j'avais beaucoup plus d'adhérence. Soudain, nous avons été beaucoup plus rapides.»
Avec sa femme à bord, la coopération fonctionne à merveille. Il constate qu’ils sont vraiment sur la même longueur d’ondes. Mais comment convaincre votre femme de s'asseoir sur le siège à côté en tant que copilote? «Mirjam assistait déjà aux rallyes en tant que spectatrice avant d’entrer elle-même en action. J'ai sans doute tellement parlé de rallyes à la maison qu'un jour, elle a fini par me proposer d'être ma copilote.» Depuis, les Betschen parlent quasiment que de rallyes. «En rallye, je trouve que c'est un avantage de bien se connaître», constate Cédric. «La conduite de rallye est en grande partie une question de confiance. C'est pourquoi j'ai toujours compté sur les copilotes de ma famille. Avec Mirjam, bien des choses ont été facilitées. On a la possibilité de discuter constamment et n’importe où de la prochaine étape ou d'une note.»
En s'attaquant au Championnat suisse junior en 2016, Betschen a fait un grand pas en avant dans sa carrière de pilote de rallye. «Pour la première fois, je faisait partie d’une équipe, ce qui m’a aidé à bien des égards.» Entre autres choses: savoir gérer un accident. «Il s’est produit de nouveau au rallye du Chablais», dit Betschen. «Nous roulions à une bonne allure quand je suis entré dans une ornière. Je ne pouvais plus corriger le tir et nous avons embouti un arbre et atterri la tête la première.»
En 2017, Betschen ne pouvait plus rouler avec les juniors en raison de son âge. Mais il s'est offert une Renault Clio R3 Maxi plus puissante. «Avec elle, je pouvais conduire sans pression.» En même temps, il se demandait que faire de sa Clio d'origine. «J'avais deux options: la vendre ou la remettre en état. J'ai choisi cette dernière option.»
C'était la bonne décision. Bien qu'en 2018, Betschen ait, sous la pression de son épouse Mirjam, aussi participé à un rallye avec la Renault Clio R3 Maxi (P8 au Chablais), Cédric a misé en 2019 tout sur sa Clio originale et a ainsi remporté la Coupe Suisse des Rallyes. «Cette année, c’est la première fois que nous avons terminé une saison complète», dit Betschen. «Dans ces conditions, une telle victoire procure naturellement une satisfaction particulière.» La suite de sa carrière est encore ouvert. Lors d'un essai avec une Citroën DS3, Betschen d’expérimenter la conduite d’une R5. Mais il n'a pas les moyens requis pour participer avec elle à des rallyes. «Nous louerons probablement une voiture pour certains rallyes», dit Betschen. Il ne pourra plus compter sur sa Clio. Comme beaucoup de voitures de champions célèbres, celle-ci a été vendue quelques jours après sa derniére course.
Cédric Betschen
Titre: Vainqueur de la Coupe suisse des rallyes
Age: 31
Origine: Reconvilier (BE)
Véhicule: Renault Clio N3
2007 Premiers slaloms
2008 Premières courses de côte
2009 1er rallye (Chablais) avec une Renault Clio N3
2010-2015 Divers rallyes avec une Renault Clio N3
2016 Championnat Suisse des Rallyes Junior sur Peugeot 208 R2
2017 Championnat Suisse des Rallyes sur Renault Clio R3 Maxi
2018 Championnat Suisse des Rallyes sur Renault Clio R3 Maxi et N3
2019 Vainqueur de la Coupe Suisse des Rallyes sur Renault Clio N3
L’année touche à sa fin et il est temps de passer en revue l’année écoulée. Pour faire le pont jusqu’à Noël, nous avons sélectionné à votre intention les meilleures photos de 2019. Dans la partie 5 nous montrons les meilleures photos du Championnat suisse course des côtes.
Nous vous souhaitons beaucoup de plaisir en consultant la galerie de photos sur le site https://motorsport.ch/fr/automobile/galerie et remercions cordialement tous les photographes!!!
Le samedi 14 décembre, la course automobile suisse a perdu une icône avec Daniel Fausel (73). Tout au long de sa vie, ce Romand s'est engagé dans le sport automobile. Quelques jours avant sa mort, Fausel était encore à Paris au Conseil Mondial. On l’y a confirmé pour une autre période dans ses nombreuses fonctions internationales.
Dans les cercles de course, Fausel était considéré comme une véritable encyclopédie ambulante. Personne ne connaissait les règlements aussi bien que lui et personne ne les a fait respecter aussi systématiquement que lui. On comprend certes que cela ne lui ait pas valu que des amis. Néanmoins, il prenait toujours à coeur les préoccupations des pilotes et des organisateurs. Franz Tschager, ancien champion de la montagne qui a accompagné longtemps Fausel lors de nombreuses courses en Europe, l'a bien exprimé dans ses condoléances: «Daniel a toujours eu une oreille ouverte pour nous, les pilotes et il a toujours cherché à trouver la meilleure solution possible à un problème.»
La carrière de Fausel dans le sport automobile s'étend sur plus d'un demi-siècle. En 1966, en tant qu'employé de commerce, il occupe un poste de secrétaire au sein du service technique de l'ACS, l'autorité sportive de l'époque. Son amour de la course et la véritable passion que Daniel lui a vouée lui ont ouvert presque toutes les portes. Bientôt, il était devenu impensable de se passer de Fausel en termes de connaissances spécialisées, même s'il n'avait pas eu de formation technique. Il a toujours misé sur la formation sur le tas et intériorisé cette devise jusqu'à la fin.
Daniel a acquis une expérience pratique de la course à la fin des années 60 en tant que pilote et copilote dans des rallyes suisses. De 1970 à 1997, Fausel a également été chronométreur au niveau national et international. Au début des années 80, sa renommée s'est étendue bien au-delà des frontières suisses. En tant que chronométreur en chef, il n'a pas seulement été en action lors du dernier Grand Prix de Suisse de Formule 1 à Dijon en 1982, il a également assuré le chronométrage des courses de F1 à Hockenheim et Zeltweg.
Afin de préparer l'avenir, un soutien plus large de la souveraineté sportive s'imposait. Avec la création d'une association indépendante de sport automobile, soutenue par diverses parties intéressées, cet objectif a été atteint en 2004.
Le passage à une nouvelle association détenant la souveraineté sportive a demandé beaucoup d'énergie et Fausel a joué un rôle important à cet égard. Dans sa nouvelle fonction de directeur, il a contribué de manière significative au succès de l'organisation. C'est à lui que l'on doit en grande partie le fait que l'organisation, le financement et le personnel d'Auto Sport Suisse sont assurés.
La Fédération automobile internationale FIA a également bénéficié à maintes reprises du savoir-faire de Fausel au cours des dernières décennies - que ce soit en tant que commissaire sportif, président de la commission d'homologation ou en tant que membre de divers groupes de travail et de diverses commissions dans le domaine des voitures de tourisme ou du sport GT.
Paul Gutjahr est une personne qui a pu accompagner Daniel Fausel pendant des décennies. L'ancien commissaire de course de la FIA avait fait la connaissance de Fausel au milieu des années soixante-dix dans sa fonction de président sportif de la section bernoise. Jusqu'à la mort de Fausel, ils étaient étroitement liés et pas seulement par la course. «Daniel était comme un frère pour moi», dit Gutjahr. «Depuis que je suis devenu président de la CSN en 1980, le contact est devenu de plus en plus étroit. La fondation d'Auto Sport Suisse nous a vraiment soudés.»
Au nom d'Auto Sport Suisse, Patrick Falk, directeur depuis 2010 et donc successeur de Fausel auprès d'ASS, déclare: «Avec Daniel, nous avons non seulement perdu un véritable expert de la course, mais aussi un ami fidèle et un grand promoteur.»
Le secrétariat d’Auto Sport Suisse sera fermé dans la période entre Noël et Nouvel An. Vous pourrez nous joindre avant et après les jours de fête comme suit :
Lundi, 23.12.2019, ouvert jusqu’à 15.00 heures
Lundi, 06.01.2020 ouvert dès 08.00 heures
Ensuite, nous nous tiendrons à nouveau à votre disposition aux heures d’ouverture des bureaux habituelles.
Nous vous souhaitons de joyeuses fêtes et une bonne et heureuse nouvelle année 2019!
Auto Sport Suisse
Delétraz est de retour chez Charouz
En 2020, le Genevois Louis Delétraz effectuera sa quatrième saison en Formule 2. Cette année, le huitième du championnat misera sur l'équipe Charouz pour laquelle il a déjà piloté en 2018. «Nous avons toujours un compte ouvert», dit Delétraz, qui a récemment réalisé des temps de pointe avec Charouz lors de tests à Abu Dhabi. Son grand objectif consiste toujours et encore à remporter le titre de champion. De plus, Delétraz est toujours en attente de sa première victoire en F2 après 62 courses.
Emil Frey avec «Ricky» Feller
Emil Frey Racing n'a pas seulement remporté le titre par équipe lors du GT Open de cette année, l'équipe de Safenwil a également décroché la première et la deuxième place parmi les pilotes. Le passage à une autre catégorie est donc plus que logique. En 2020, l'équipe d'Emil Frey prendra donc le départ au GT World Challenge Europe - anciennement Blancpain GT Series. Elle sera renforcée par deux pilotes du GT Masters: l'Argovien Ricardo Feller formera une équipe avec les pilotes actuels Mikaël Grenier et Norbert Siedler. Le Français Franck Perera partagera la deuxième Lamborghini Huracan GT3 Evo avec Albert Costa et Giacomo Altoè.
Êtes-vous encore à la recherche d’un cadeau de Noël adéquat? Pas de problèmes. Nous vous suggérons quatre livres qui vont plaire à tous les coups.
Annuaire du sport automobile suisse
L’annuaire du sport automobile suisse qui paraît depuis 1984 est pour les fans du sport motorisé suisse un «must have» absolu. Sur environ 400 pages, Peter Wyss et de nombreux auteurs invités passent en revue la saison 2019. Personne n’y est négligé. Qu’il s’agisse des championnats nationaux ou internationaux à deux ou des quatre-roues, ce livre célèbre tous les succès suisses. Il est complété par une statistique détaillée.
356 pages, plus de 550 photos, prix: 65 francs. Disponible en librairie ou sur le site www.aktivverlag.ch, ISBN 978-3-909191-75-4
Pilotes de Grand-Prix tessinois
De nombreux pilotes de course automobile sont déjà issus du canton méridional de la Suisse. Le plus célèbre parmi eux est sans doute Clay Regazzoni. Mais il existe encore un grand nombre d’autres pilotes de Grand-Prix tessinois. L’ouvrage en langue italienne et richement illustré «Piloti ticinesi da Grand Prix» de Giorgio Keller en fournit la preuve. Ce livre comporte le portrait de plus de 40 pilotes et une rétrospective sensationnelle qui aborde dans la dernière partie du livre aussi les pilotes tessinois qui ont pris le départ au Mans.
385 pages, plus de 1200 photos, prix: 58 francs. Disponible auprès de l’Edizioni Fontana (www.fontanaedizioni.ch, Mail: piloti.ticinesi@bluewin.ch), ISBN 978-88-8191-538-5
Jo Siffert
Aimez-vous les bandes dessinées? Êtes-vous par ailleurs un fan de Jo «Seppi» Siffert? Alors il y a fort à parier que cette bande dessinée dans le style Michel-Vaillant vous plaira. Olivier Marin et Michel Janvier y évoquent l’histoire de ce talent fribourgeois sortant du lot depuis ses débuts jusqu’à sa mort tragique par accident à Brands Hatch. Les photos et citations d’origine de contemporains célèbres, intégrées dans les différents chapitres, montrent qu’il ne s’agit pas exclusivement d’une bande dessinée.
64 pages, prix: 22 francs. Disponible en librairie ou sur le site www.editionspaquet.com/catalogue-bd/jo-siffert, ISBN 978-28- 8890-741-1
Le «magicien» suisse
Le surnom d’Edi Wyss était «The Swiss Wiz». Il était un mécanicien suisse de véhicules de course qui s’occupait dans les années 1970 en Angleterre auprès de McLaren des voitures de Denny Hulme, Peter Gethin et d’autres personnalités célèbres. Dans son autobiographie, Wyss raconte comment sa passion pour les véhicules de course et de sport l’a conduit d’abord sur la scène de course suisse et par la suite sur la scène internationale tout autour du globe.
304 pages, prix: 79,90 Euro, disponible en librairie ou sur le site www.rallyandracing.com, ISBN 978-3-9471-5622-1
L’année touche à sa fin et il est temps de passer en revue l’année écoulée. Pour faire le pont jusqu’à Noël, nous avons sélectionné à votre intention les meilleures photos de 2019. Dans la partie 4 nous montrons les meilleures photos du Championnat suisse des rallyes.
Nous vous souhaitons beaucoup de plaisir en consultant la galerie de photos sur le site https://motorsport.ch/fr/automobile/galerie et remercions cordialement tous les photographes!!!